Musketier
27.06.2016 17:22:33
- #1
Personne ici ne pourra te le dire. La plupart des banquiers ici ne doivent pas travailler dans le secteur de l'épargne-logement et la plupart des propriétaires viennent juste de construire et n'ont probablement pas encore vécu cela.
J'ai un exemple négatif d'une telle construction dans mon cercle de proches. Un immeuble résidentiel et commercial loué a été touché par une inondation en 2002. Tous les locataires sont partis à ce moment-là. Les mensualités ont été plus ou moins continuées à être payées par la pension de retraite, mais autant que j'ai pu en avoir connaissance, la mensualité d'épargne-logement a été réduite. Cela conduit bien sûr à un paiement sans fin sans affectation, sans que les intérêts ne diminuent jamais. Un refinancement devait être impossible à cause de l'âge (>80) et des pertes de revenus à ce moment-là.
Même si ce n'est pas un exemple représentatif, cela m'a tout de même un peu marqué négativement par rapport aux prêts épargne-logement.
Cela m'agace déjà de voir que mon compte à vue ne rapporte presque pas d'intérêts et qu'en revanche, je paie chaque mois des intérêts importants sur le crédit. Cela serait encore pire avec un contrat d'épargne-logement.
Dans ton cas
De quelle somme parlons-nous ? Est-ce celle en-dessous de 200 000 € dont il était question dans l'autre discussion ?
Dans le pire des cas, tu as un financement relais de quelques mois avec peut-être 500 € de coût supplémentaire.
Même si on ne tient pas compte des augmentations de salaire dans un financement, une certaine inflation (des coûts et aussi des salaires) est généralement présente, tandis que la mensualité reste un bloc constant sur le long terme.
En conséquence, il devrait y avoir à long terme une certaine marge de manœuvre.
Si votre financement n'est donc pas taillé trop près et que vous avez mis de l'argent de côté chaque mois, quelques mois, voire 1-2 ans, devraient pouvoir être couverts.
Ce n'est bien sûr pas très agréable et cela fausse aussi le calcul comparatif avec un prêt à annuités, mais ce ne devrait pas être la fin du monde. Sinon, vous avez fait une erreur, car alors toute autre perte de revenus (chômage, enfant, etc.) entraînerait aussi une vente ou une saisie forcée.
Ce qui m'intéresserait plutôt, ce sont les conditions des deux offres. De plus, pourquoi n'as-tu pas demandé une autre offre auprès d'Interhyp si tu as des doutes à propos de la DSL Bank ?
J'ai un exemple négatif d'une telle construction dans mon cercle de proches. Un immeuble résidentiel et commercial loué a été touché par une inondation en 2002. Tous les locataires sont partis à ce moment-là. Les mensualités ont été plus ou moins continuées à être payées par la pension de retraite, mais autant que j'ai pu en avoir connaissance, la mensualité d'épargne-logement a été réduite. Cela conduit bien sûr à un paiement sans fin sans affectation, sans que les intérêts ne diminuent jamais. Un refinancement devait être impossible à cause de l'âge (>80) et des pertes de revenus à ce moment-là.
Même si ce n'est pas un exemple représentatif, cela m'a tout de même un peu marqué négativement par rapport aux prêts épargne-logement.
Cela m'agace déjà de voir que mon compte à vue ne rapporte presque pas d'intérêts et qu'en revanche, je paie chaque mois des intérêts importants sur le crédit. Cela serait encore pire avec un contrat d'épargne-logement.
Dans ton cas
De quelle somme parlons-nous ? Est-ce celle en-dessous de 200 000 € dont il était question dans l'autre discussion ?
Dans le pire des cas, tu as un financement relais de quelques mois avec peut-être 500 € de coût supplémentaire.
Même si on ne tient pas compte des augmentations de salaire dans un financement, une certaine inflation (des coûts et aussi des salaires) est généralement présente, tandis que la mensualité reste un bloc constant sur le long terme.
En conséquence, il devrait y avoir à long terme une certaine marge de manœuvre.
Si votre financement n'est donc pas taillé trop près et que vous avez mis de l'argent de côté chaque mois, quelques mois, voire 1-2 ans, devraient pouvoir être couverts.
Ce n'est bien sûr pas très agréable et cela fausse aussi le calcul comparatif avec un prêt à annuités, mais ce ne devrait pas être la fin du monde. Sinon, vous avez fait une erreur, car alors toute autre perte de revenus (chômage, enfant, etc.) entraînerait aussi une vente ou une saisie forcée.
Ce qui m'intéresserait plutôt, ce sont les conditions des deux offres. De plus, pourquoi n'as-tu pas demandé une autre offre auprès d'Interhyp si tu as des doutes à propos de la DSL Bank ?