La déclaration s'applique-t-elle à l'eau qui vient d'en haut et qui traverse votre propriété ou à l'eau qui tombe chez vous sous forme de pluie et qui s'écoule de votre propriété vers le voisin en contrebas ? Et cela s'applique-t-il aussi à l'eau qui ne s'écoule vers votre voisin que parce que vous avez influencé la capacité d'infiltration par l'imperméabilisation et la compaction du sol ?
Tout d'abord, je n'ai rien influencé. À part avoir semé du gazon, le terrain sur notre propriété est dans son état d'origine. Nous n'avons ni pavé ni gravillonné là-bas.
Nous étions déjà d'accord que l'eau de pluie propre doit être évacuée sur sa propre propriété. Il s'agit uniquement de l'eau qui "traverse".
Pour moi, c'est une erreur claire dans la planification de la zone constructible par la commune. Les difficultés liées aux fortes pluies et le manque d'infiltration sur la pente devraient figurer dans le plan d'aménagement. Cela était sûrement connu et une solution aurait dû être développée et exigée avant l'autorisation des parcelles. Y a-t-il quelque chose à ce sujet ?
Sinon, je porterais effectivement le sujet au service urbanisme et le mettrais en lumière. Une solution commune devrait intéresser tout le monde, car je ne crois pas que les murs des voisins supportent éternellement cette pression.
Oui, et je te donne raison à 100 %. Tout le monde savait que l'eau stagnait toujours sur les prairies qui se trouvaient là auparavant, la commune aurait dû agir.
Mais même si cela paraît un peu égoïste : je n'ai pas de problème. Je construis soit un mur avec celui qui est au-dessus de moi, alors il aura le problème (mais je n'ai pas le droit, c'est réglé par l'avocat), soit je fais enlever le mur en dessous, ce que je vais faire. Le problème revient donc à ceux d'en bas et ils devront s'adresser à la commune ou à nous tous.
Cependant, nous sommes touchés par plusieurs coups du sort, je ne peux donc pas me charger du sujet. Je poste tout de suite ce que l'avocat a écrit après avoir étudié le plan d'aménagement.