Modifier partiellement ou retirer le droit de passage

Comme disait un collègue : "Stutenbissigkeit" :)

C'est toutefois quelque chose de différent - (mode petit malin activé) << dénigrer, mordre à cause de la jalousie et de l'envie >> c'est ça la Stutenbissigkeit (mode petit malin désactivé)

Je me joins à , aussi ennuyeux que cela puisse être pour toi. Tu n'aurais pas dû accorder un droit de passage aussi étendu, ou bien tu aurais dû reclasser le chemin directement en propriété commune et en vendre une partie (te faire donc payer). Car ainsi, tu es seul à 100 % responsable et en charge de l'obligation d'assurer la sécurité de la circulation, mais tu dois en même temps tolérer ce type d'utilisation par ta nouvelle voisine.

Je suis d’un autre avis. J’aurais vendu le chemin et me serais fait enregistrer un droit de passage.

Et la question passionnante reste toujours : « Comment le droit de passage est-il inscrit dans le registre foncier ? » Y a-t-il un croquis, une description à ce sujet ? Si ce n’est que la surface gravillonnée, je pense que le carport ne serait pas légalement accessible. Si le droit de passage comprend aussi la surface pavée jusqu’à ta porte, la situation est plus délicate, alors à l’emplacement du carport il n’y a pour l’instant rien à redire. Il est interdit aux deux parties de stationner de manière à bloquer le passage.

Quel droit est en fait défini ? Un droit de passer à pied et en voiture ou peut-être seulement un droit de passage à pied ? Ce dernier aurait été judicieux si on avait voulu seulement permettre à l’acheteur l’accès à la porte d’entrée. Mais il semble que le mal soit déjà fait ici ...

Je trouve que le cas est assez clair.
Tu as vendu le terrain, elle y a construit différemment de ce que tu souhaitais.
Maintenant, tu es fâché à cause de cela et tu lui bloques le carport.
Elle a raison, pas toi.

Donc le chemin t'appartient et tu as inscrit un droit de passage à la nouvelle propriétaire ? Ai-je bien compris ?

Si tu lui as fait inscrire le droit de passage jusqu'à l'arrière de ton terrain, alors c'est de ta faute, elle peut utiliser le chemin comme ça, c'est un chemin et tu n'as pas le droit d'y stationner.
Il aurait été plus judicieux de lui inscrire le droit de passage uniquement jusqu'à hauteur de sa porte d'entrée. Dans ce cas, le carport aurait été construit illégalement et elle aurait dû passer par ton terrain privé pour y accéder – ce qu'elle ne peut évidemment pas faire. Et tu aurais pu utiliser le chemin, de la hauteur de sa porte jusqu'à chez toi, comme bon te semble, car c'est un terrain purement privé (qui te permet d'accéder à ton terrain, que tu peux utiliser comme tu veux).

C’est mal joué, je dirais. Le notaire t’a mal conseillé. Si le droit de passage s’était arrêté à hauteur de sa porte, elle n’aurait pas eu d’autre choix que de construire le carport de l’autre côté et elle ne pourrait pas s’énerver si tu te gares sur ton terrain privé de quelque manière que ce soit (même si c’est devant chez elle).
Si c’est comme je le suppose, alors elle a raison de son côté et tu ne peux que regretter de ne pas avoir bien réfléchi à l’époque et tu peux être fâché contre le notaire qui ne t’a pas bien conseillé. Mais tu ne peux certainement plus rien y faire.

Merci pour vos informations, j'ai malheureusement eu de la malchance, je me suis laissé berner par cette dame, car elle voulait construire son carport devant sa maison, bon, elle voulait aussi seulement se faire construire un petit bungalow. Je dois probablement accepter qu'elle rentre chez elle 3 à 4 fois par semaine après 22 heures la nuit et qu'elle gare sa voiture sous la fenêtre de ma chambre, c'est très bruyant et quand il pleut, elle a fait installer un toit en tôle sur le carport, on ne peut alors tout simplement pas dormir.