Nouvelle maison individuelle (KFW70) / béton cellulaire vs. pierre ponce / que construire ?

  • Erstellt am 31.01.2014 08:27:19

Bauexperte

01.02.2014 15:44:03
  • #1
Bonjour €uro,

quels sont les revendications concurrentes dont tu parles ? Avec un [36.5 AW] et plus ?

Que un mur extérieur monolithique soit moins cher qu’un [AW avec WDVS], ce serait nouveau pour moi. Même par rapport à une construction à double couche avec enduit, les économies restent limitées.

Cordialement, expert en construction
 

€uro

02.02.2014 10:45:35
  • #2
Bonjour expert en construction,
Le sujet a déjà été plusieurs fois abordé sur ce forum !

1. - Statique (transfert de charges)
2. - Isolation thermique
3. - Protection contre la chaleur estivale
4. - Isolation acoustique
5. - Protection de la façade ou contre les intempéries

Même un novice devrait comprendre que ces exigences différentes ne peuvent guère être optimalement satisfaites en détail par une construction monolithique des murs.
Il en découle nécessairement une construction AW à plusieurs couches, dans laquelle chaque couche prend en charge précisément la fonction qu’elle peut particulièrement bien remplir.

Une construction AW optimale pourrait par exemple être la suivante :

1. Paroi intérieure : par exemple bloc de pierre calcaire haute résistance et lourd ou brique (17,5 cm) :
Avantage : très bonne capacité de stockage thermique interne, transfert de charges excellent (pas de chevilles spéciales pour charges ponctuelles), très bonne isolation phonique
Inconvénient : mauvaise isolation thermique

2. Isolation thermique (valeur lambda et épaisseur selon besoin/exigence)
Avantage : très bonne isolation thermique (partie principale d’une construction)
Inconvénient : pas de transfert de charges, quasi aucune isolation phonique, capacité de stockage thermique interne faible, protection contre la chaleur estivale faible

3. Intercalaire d’air : fonction : => protection contre l’humidité de l’isolation thermique par découplage, protection contre la chaleur estivale par ventilation arrière, isolation thermique par couche d’air immobile

4. Paroi extérieure : 11,5 cm de brique klinker en mur de parement ou pierre calcaire, etc. avec enduit
Avantage : excellente et durable protection contre la chaleur estivale et les intempéries, très bonne isolation acoustique, très bonne capacité de stockage thermique externe
Inconvénient : mauvaise isolation thermique, pas de transfert de charges (ce qui n’est pas nécessaire)

Cependant, les maîtres d’œuvre/generalistes habituels sont habituellement dépassés tant techniquement que financièrement par cette solution !

Cordialement.
 

Bauexperte

02.02.2014 13:09:13
  • #3
Bonjour €uro,

j’apprécie ton engagement en matière de TGA, mais parfois je reste incrédule devant ta (apparente) réticence à penser un peu à droite et à gauche du tunnel.


C’est « ton » point de vue… ce que tu oublies, c’est qu’il n’existe pas une seule construction de mur extérieur pour chaque projet de construction. Par exemple, une maison individuelle sans beaucoup de poteaux fins dans la façade (la majorité des projets) peut très bien être réalisée avec une construction monolithique du mur. En revanche, une maison individuelle nécessitant beaucoup de béton (statique) dans la façade sera souvent mieux équipée d’un isolant thermique complet. C’est, comme toujours, aussi une question de rentabilité.

Il y a quelque temps, j’ai trouvé un article de 1986 qui me parle vraiment. Cet essai reflète seulement « mon » point de vue personnel sur les besoins dans la construction ; logiquement, j’essaie de réaliser la construction monolithique (qu’il s’agisse de béton cellulaire ou de briques creuses) dans la majorité des cas, même si cela me vaut souvent des discussions « joyeuses » avec nos architectes. Car : l’isolation complète évite toujours les discussions avec les maîtres d’ouvrage… et apparemment aussi avec les planificateurs TAG.

« Autour d’une pierre posée dans la neige se forme bientôt, sous l’effet du rayonnement solaire, un espace sans neige, car en raison de sa capacité thermique relativement faible, la pierre atteint rapidement une température suffisamment élevée pour faire fondre la neige autour d’elle. Les paysans tibétains utilisent cet effet d’absorption du rayonnement thermique avec des pierres de couleur sombre, du fumier d’animaux et des mottes de terre, afin de libérer plus tôt de la neige réfléchissant la chaleur et isolante leurs sols gelés en profondeur sur ce toit du monde, durant les courtes périodes de croissance entre le semis et la récolte.

Environ deux tiers de ce rayonnement global court et énergique gratuit sont absorbés ou renvoyés par l’atmosphère terrestre. Pourtant, l’atmosphère est suffisamment transparente pour permettre la vie humaine, animale et végétale grâce à la chaleur rayonnante adéquate dans différentes régions climatiques et habitations. Les constructions très isolées, immatérielles, faites de tissages ou de mousses (avec un volume jusqu’à 98% d’air en pores) ne peuvent cependant quasiment pas absorber ni stocker gratuitement cette chaleur en raison du manque de masse. Si cela était physiquement possible, certains « scientifiques du polystyrène » employés dans l’industrie pousseraient sans doute la législation à exclure totalement toute masse bâtie tempérée, comme par exemple la face nocturne d’une moitié de globe terrestre, dénuée de rayonnement. Heureusement, les planètes ont la capacité de tourner sur elles-mêmes et de se déplacer, exposant ainsi régulièrement toutes les surfaces au corps central rayonnant et chauffant de notre système solaire, le soleil.

Les constructions isolantes, qu’il s’agisse de « constructions en carton » très poreuses ou de combinaisons de éléments légers et lourds, sont cependant fixes, immuables, irréparables ! Lorsque le rayonnement solaire atteint les surfaces (non transparentes) de matière sans isolation, solide (ou liquide), sur les continents (mers) ou dans des habitations massives, il est transformé en chaleur rayonnante longue qui élève la température de la terre (et de son atmosphère) et, par conséquent, augmente la température des couches extérieures des murs épais (masse monolithique et chauffée), réduisant ainsi la différence de chaleur entre la surface intérieure et extérieure ou les pertes de chaleur dominantes vers l’extérieur. Les murs extérieurs doivent donc déjà isoler par leur épaisseur, mais – comme autrefois – être capables, par leur masse et leur faible capacité thermique, d’absorber le rayonnement des deux côtés pour se chauffer gratuitement (!).

Les « systèmes d’isolation complète » excluent ce « cadeau du ciel ». Depuis la mi-octobre 1983, chacun peut officialiser cela dans un rapport succinct d’une analyse de consommation d’énergie « imposée » par l’industrie de la brique et comparant les constructions monolithiques et isolantes en conditions extérieures. Ce rapport, dont la publication a été retardée de plus d’un an, équivaut à un « aveu » de l’Institut Fraunhofer, qui pendant des décennies a communiqué, via le Centre d’information Espace et Construction et diverses publications destinées à l’industrie du bâtiment, des valeurs d’économie d’énergie totalement erronées, surestimées d’environ 300% voire jusqu’à 600% pour les murs extérieurs très poreux.

Un exemple tiré de ce rapport : un bâtiment avec un isolant appliqué de 23 (!) cm sur une façade extérieure et une valeur « championne mondialiste » k-(Isolation) (slogan publicitaire courant par exemple de la société « Isorast » qui fournit des briques « sans douleurs dorsales » à base du produit BASF « Styropor »), donc un coefficient de transmission thermique de seulement 0,16 W/m[SUP]2[/SUP]K, consomme nettement plus d’énergie de chauffage qu’un mur en briques creuses avec un coefficient k de trois fois pire, de seulement 0,46 W/m[SUP]2[/SUP]K, et ce même lors d’une période froide et peu rayonnante au « mois glacé » de janvier 1983 !

De cette différence de valeur k officiellement attestée mais absolument fausse, chaque spécialiste en énergie forge encore aujourd’hui le « plastifiant » pour ses clients afin de justifier le « système d’isolation complète », sans tenir compte de la faible durée de vie et qualité de ces constructions isolantes, en calculant une perte de chaleur inférieure d’environ 70% sur l’élément isolé ainsi qu’une réduction d’environ 4,5 litres de fioul par m[SUP]2[/SUP] de surface extérieure et par saison de chauffe, sur la base de cette valeur k « meilleure » déterminée selon les prescriptions légales. Il faut se demander combien de temps encore – sans même parler des producteurs de blocs de béton cellulaire – les 32 fabricants dominants « Poroton » vont vouloir injecter en forme de petites billes la matière plastique polystyrène dans l’argile ou la terre saine, précieuse pour la construction biologique, afin de fabriquer un isolant défectueux, ce monoproduit « Poroton T » (le T signifiant Tempo), principalement constitué de cavités gigantesques au lieu de pores microporeux séchant bien (capillaires).

La stratégie de la direction de Poroton et du comité de publicité devrait cependant bientôt être abandonnée, car basée sur des normes erronées, elle persiste encore pour des raisons d’économie de matériel et d’énergie thermique à la production ainsi que pour des raisons de poids, à miser sur des « isolants » encore juste portables à la main, formatés aussi grands que possible, au détriment économique du futur propriétaire et au détriment des petits fabricants concurrents de briques pleines, lesquels vont sans doute fermer leur « épicerie de quartier » pour que les rares et précieux gisements d’argile puissent être repris. Il est connu que des murs extérieurs de 36,5 cm d’épaisseur, en briques pleines (malheureusement seulement disponibles en plus petits formats, par ex. 240/115/71 ou 240/115/113 mm, par ex. 1600 kg/m3), sont les bons économes d’énergie et surtout, sans aucun doute, indispensables à la santé par rapport aux briques poreuses.

Les valeurs fantastiques d’isolation thermique du « modèle de protection thermique selon DEN 4108 » ne s’appliquent qu’aux matériaux secs, alors que le matériau poreux n’offre quasiment plus aucune isolation thermique suffisante après humidification et n’a rien à voir avec le calcul obligatoire des besoins thermiques pour le dépôt du permis de construire, qui doit utiliser uniquement les valeurs calculées pour matériaux secs(!), dont les valeurs optimales en laboratoire ne correspondent plus du tout à la réalité après installation avec les effets de l’humidité dans la paroi.

De plus, outre les valeurs calculées de capacité thermique et d’isolation des matériaux, la résistance à l’eau, à la vapeur et aux contraintes externes joue un rôle majeur, notamment pour les briques pleines ou le bois par rapport aux isolants. Il faut ajouter que l’équilibre hygroscopique selon l’humidité météorologique (de l’air) est, pour la brique, négligeable par rapport à d’autres matériaux modernes loués, comme la brique silico-calcaire, le pouzzolane, le béton cellulaire, le béton allégé et le béton standard, et que la brique pleine (contrairement à la brique klinker) montre une faible résistance à la diffusion de vapeur mais surtout une bonne capacité de transport capillaire d’humidité (vers l’extérieur en hiver), ce qui permet à la brique de sécher plus rapidement et de rayonner la chaleur mieux que d’autres briques prisées, qui absorbent l’eau par diffusion et pluie battante plus vite qu’elles ne la rejettent.

La désorption est par exemple environ dix fois plus importante pour la brique que pour la brique silico-calcaire. Une bonne capacité capillaire pour les briques, le mortier de jointure (de préférence à la chaux et sans additifs chimiques d’étanchéité) et les peintures est donc nécessaire pour évacuer l’humidité liée à la construction ou la condensation de vapeur afin de sécher la section transversale complète des murs d’enveloppe ainsi que l’air ambiant à un niveau supportable de 40-65 % d’humidité relative, indispensable à la santé, ce qui n’est possible avec des matériaux modernes étanches à la vapeur, des films plastiques et les constructions isolantes actuelles que par la ventilation des fenêtres, avec les pertes rapides d’énergie de chauffage correspondantes, excluant toute capacité de stockage dans les murs extérieurs. Bien que l’amélioration de la qualité de l’air intérieur, due aux échanges gazeux par cette « respiration » des murs en briques, soit quantitativement faible, elle est d’une grande importance « bioconstructive » sur le plan qualitatif, car les surfaces intérieures des murs extérieurs (souvent plus fraîches que l’air ambiant) transportent vers l’extérieur la plupart des émanations des occupants, germes pathogènes, transpirations de la peau ou autres « pores » de l’homme, des animaux et des plantes, ainsi que bactéries et spores de moisissure, par diffusion de vapeur et transport capillaire, tout en désinfectant ces bactéries nuisibles par la chaux du mortier et de la peinture, lesquelles sinon tourbillonnent dans la poussière sèche dans les pièces chauffées.

Les constructions isolantes, qu’elles soient isolées à l’extérieur, à l’intérieur ou dans le noyau du mur, restent à ce jour des enveloppes climatiques non résolues, conduisant régulièrement à des dommages visibles et, surtout, invisibles liés à l’humidité, ainsi qu’aux pertes énergétiques correspondantes et non détectables. Les murs massifs suffisamment épais à construction homogène connaissent peu ces problèmes et sont les bons économes d’énergie ! Les prescriptions légales sur l’isolation thermique et la diffusion de vapeur ne correspondent en rien aux sciences naturelles. Et cette avalanche de publicité partiale pour l’isolation n’est-elle pas suffisante pour noyer toute vérité sur les pertes réelles annuelles de bilan thermique ? N’est-il pas scandaleux qu’après l’entrée en vigueur de l’ordonnance sur la protection thermique au 1er janvier 1984, les propriétaires de bâtiments massifs soient parfois contraints légalement lors d’une rénovation à dépenser de l’argent pour une isolation supplémentaire, censée être un miracle isolant, alors qu’après ce mauvais investissement, ils consomment en fait plus d’énergie !, parce que leurs anciennes constructions massives non isolées, capables de stocker la chaleur, sont de loin supérieures en consommation énergétique ainsi qu’en qualité de vie et d’usage ?

Car une bouteille thermos isolante ne sert pas seulement à garder le café chaud, mais aussi à empêcher la fonte des glaçons, tellement que beaucoup de « propriétaires isolés » doivent encore chauffer en juin ! Par ailleurs, certains isolants, comme les mousses UF, sont considérés comme nocifs pour la santé et les fibres minérales (laine de verre, laine de haut-fourneau et laine de roche) comme suspectes de cancer en raison de leur forme fibrillaire pénétrant dans les poumons. Je déclare donc ici la fin des modes constructives légères jusque-là, du moins pour les bâtiments d’habitation, une némésis pour les constructions isolantes. En République fédérale d’Allemagne, on isolera à la limite seulement les voitures particulières, les engins spatiaux ou autres pour des raisons de poids contre le froid et la chaleur.
Cependant, les murs des maisons seront de nouveau construits plus épais, massifs et sans isolation, perméables à la vapeur sans pare-vapeur, donc à nouveau naturels et sains.

Source : A. Klaus/Arch+

Ma conclusion : comme écrit avec clairvoyance; nous sommes déjà à 36,5 et 42 cm de construction murale… même si, il faut le reconnaître, contraints par Bruxelles

Cordialement, expert en construction
 

€uro

02.02.2014 13:40:04
  • #4
M’accuser de mauvaise volonté est sans doute influencé par tes conditions-cadres prédéfinies liées à la vente, seul un esprit malveillant pourrait y voir autre chose !
Correct, c’est pourquoi les bon marché choisissent toujours d’abord le moins cher, sans connaissance de la rentabilité réelle, durable et pérenne ! Pas cher au début, devient souvent très cher à la fin !
...Pas d’avis propre et techniquement fondé ? Dépendant du soutien de vendeurs peu clairs ?
Pour les résultats d’études, un conseil simple aide généralement : qui a commandé ces études et qui a sponsorisé les résultats ? !
Cela explique en réalité suffisamment la présentation des résultats !
Seuls les amateurs et les naïfs fondent une décision d’investissement majeure, qui les accompagne 20...25 ans, sur des offres de vente techniquement totalement non définies !
 

Bauexperte

02.02.2014 16:20:25
  • #5
Bonjour €uro,

j’aurais dû le savoir mieux ; tu ne supportes pas très bien le vent contraire


Cette impression s’impose involontairement sans effort supplémentaire.


Cette déclaration – bien que globalement correcte dans le cas des amateurs de bas prix mentionnés – n’a rien, mais alors rien à voir avec la question discutée.


J’ai posté ce texte uniquement comme reflet de mes pensées sur le thème des murs isolés vs. la construction monolithique. Je n’ai aucune intention d’en faire la panacée… ni fondée techniquement ; ni de réinventer la roue.


As-tu déjà eu l’idée que tu sous-entends ainsi que seule ton opinion – que tu considères sûrement comme non biaisée – doit être prise pour parole véridique ?

Il n’est pas forcément facile d’échanger avec toi si tu te réfugies toujours dans tes méthodes de calcul – comment pourrais-je te suivre si je ne suis pas ingénieur ? D’autant plus que tu n’es absolument pas disposé à rendre tes résultats accessibles publiquement et surtout gratuitement pour le bénéfice des utilisateurs de ce forum ? Que tu te caches derrière des chiffres/formules ? Ou que, d’un autre côté, tu refuses de reconnaître que ce n’est pas la fin du monde de laisser reconnaître une autre opinion en tant que telle ? Que tu réagis éternellement de la même manière quand une réponse te semble ne pas correspondre à ta structure de pensée – une réponse que je considère inappropriée et, à mon avis, indigne de ta réputation – comme un adolescent pubère ?

Tu peux être beaucoup de choses ; un caractère facile à vivre, probablement pas.

Salutations, expert en construction
 

klblb

02.02.2014 17:17:27
  • #6


C’est exactement le problème de 99 % des contributions €uro. Les utilisateurs posent des questions très concrètes, la réponse est généralement :

"Blabla... as-tu bien pris en compte ? blablabla... Et de toute façon, ne peut pas être correct. ...blablabla... le concept est donc complètement nul. Tu devrais absolument consulter un planificateur TGA.

cordialement

<Signature, dans laquelle est promu le propre service TGA>


€uro, tu écris beaucoup et tu as - si l’on en croit tes posts - aussi beaucoup de connaissances, mais je n’ai JAMAIS lu quelque chose de concret venant de toi. Pourquoi ne postes-tu pas 2-3 exemples de calculs de certificats énergétiques, qui selon toi sont souvent erronés ? Pourquoi pas un site internet qui montre tes références ?

Ce serait bien que les prochains 1400 posts soient plus fructueux.

Merci et salutations
klblb
 

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