En fait, je voulais juste exprimer ma joie concernant la manière dont le maître Scholz gère la nouvelle réglementation. Bien sûr, le bonhomme ne songe même pas à ne pas réformer la chose et ainsi à abolir la taxe foncière.
Sinon, c’est très intéressant ici ; en particulier Dr. Hix. Oui, ce type qui a payé sa maison comptant, qui s’était un jour renseigné de façon non contraignante sur des histoires KfW (il n’est écrit nulle part qu’il faut être pauvre pour ça), qui, vu la procédure assez compliquée, s’est dit : Tant pis, je laisse tomber ; ce type s’énerve quand les impôts ne sont jamais supprimés mais toujours juste réinventés ou remaniés. Et cela n’a absolument rien à voir avec une attitude de vie asociale ou hostile à la société. J’ai vu un État qui pensait devoir tout payer pour tout le monde faire faillite. Dieu merci j’étais alors assez jeune pour recommencer. Je n’ai jamais voulu ni jamais demandé à recevoir quelque chose gratuitement. Mais si je vois aujourd’hui notre État bricoler toujours plus créativement de nouveaux impôts, je n’en ai pas forcément de la joie. Je pense moins à moi qu’à nos enfants ; quand on voit leurs taux d’imposition, on ne peut que se faire ses réflexions. La double imposition (d’abord l’impôt sur le revenu - ok - puis encore une taxe sur la maison bâtie avec un revenu déjà taxé - pour moi c’est non) peuvent très bien plaire à d’autres, mais pas à moi. Et cela n’a absolument rien à voir avec la maman célibataire dans la barre d’immeubles. Ceux qui ont vraiment besoin d’aide doivent l’obtenir.
Quant à la « prise de parole personnelle » : cela ne me touche absolument pas : ce n’est pas parce que quelqu’un imagine n’importe quelles choses absurdes sur mon hypothétique attitude de vie que je doive changer ma vie. Nous faisons déjà depuis longtemps chaque année des dons mesurables à Brot für die Welt, à la Croix-Rouge et à un hospice pour enfants à proximité. Ainsi, je ne me sens nullement asocial ni comme cela a été déguisé ou désigné ouvertement ici. Il faut aussi rendre, mais je préfère donner personnellement ainsi que de façon anonyme pour un aéroport sans avion, qui ne sera jamais terminé et qui ne fait que coûter toujours plus cher. C’est là-bas, par exemple, que disparaissent les fonds d’impôts. Les gens qui encaissent les impôts sont souvent trop bêtes pour les dépenser de manière utile et efficace.
Mais revenons au sujet : si l’on instaurait pour la taxe foncière des abattements raisonnables, je les trouverais acceptables. Cela épargnerait le « citoyen moyen », qui a travaillé dur pour son petit chez-soi et qui a économisé, et ne tuerait pas les bailleurs professionnels, mais apporterait quelque chose pour les nécessiteux dans la caisse de l’État. Mais cela ne se fera probablement pas.