Savez-vous ce que je n’aime pas et que je trouve presque asocial ? Quand les 10 000 plus riches, qui ont le capital nécessaire pour dépenser 400 euros ou plus pour une maison, passent leur temps à discuter de si la hotte aspirante de Klaus Bärbel est tellement meilleure parce que plus chère que celle de Gaganau, s’énervent ici que l’État leur réclame une taxe foncière, une taxe très ancienne d’ailleurs, car autrefois, seuls les propriétaires fonciers étaient citoyens et imposables, les autres n’étaient que journaliers et serfs. Attendez d’abord de voir ce qui arrive et à quoi cela ressemble exactement, le fait que cela a été, est et sera payé n’est à mon avis pas une raison de se plaindre. Chacun ici utilise les services publics et les infrastructures d’État, tout le monde. Sous forme de route, école, crèche, éclairage, feu de circulation, police, administrations, éventuellement piscine, bibliothèque, bus urbain, etc. Avec le principe du you get what you pay for de la postmodernité, ça ne marche pas, sinon le bus urbain ne passerait plus à 22h et les coûts de la crèche vous feraient tomber des oreilles. K.