ypg
07.12.2016 13:21:53
- #1
Tout comme il n’y a pas de juste ou de faux en matière de brainstorming, on peut aussi débattre ici pour savoir lequel est meilleur - ils sont simplement différents !
Il est certain que a dû avoir quelques idées à propos de l’un ou l’autre, et il est aussi certain que Monsieur l’Architecte a réfléchi à ce qui est possible ou non.
Ils ont tous les deux de longs couloirs. J’ai étudié les plans plusieurs fois.
Mon avis : Fondamentalement, tout le "secteur enfants" chez Kerstin est beaucoup mieux conçu. Il est plus ouvert, les chambres sont plus attrayantes.
On s’en fiche de la symétrie des fenêtres, personne ne reste là de toute façon, car c’est bien connu, c’est une zone en lisière.
Et a prononcé le mot que j’avais dans le ventre et qui ne venait pas à mon esprit : l’impression de couloir de prison.
Ce couloir qui serpente autour du salon, on peut s’en passer. Vraiment !
Il faut garder à l’esprit que chaque membre de la famille doit parcourir ce couloir plusieurs fois par jour. Chaque personne est ainsi isolée des autres si elle veut se retirer.
Honnêtement, j’aurais peur en cas d’incendie. Peut-être que ce sentiment d’oppression est un peu exagéré à l’époque où les messages remplacent les conversations ??? :eek:
Je ne comprends même pas pourquoi le salon en tant que pièce de passage a été défini comme un no-go dans le post d’entrée. L’a-t-il vraiment été ?
Le fait est qu’on apprend, à différentes étapes de la planification d’une maison, à accepter certaines choses comme acquises et à être prêt à tolérer plutôt l’une que l’autre. Je peux aussi comprendre, avec trois enfants, que l’on préfère avoir la cuisinière dans une pièce fermée.
Mais n’est-ce pas aussi le cas dans une famille nombreuse qu’on cherche la communication ? Qu’on est plutôt prêt à avoir un point de communication central ?
J’ai fait quelques croquis, le secteur enfants de Kerstin, en laissant beaucoup de choses telles quelles, par exemple la cuisine, même si je l’ai un peu réduite et placé le lieu de communication près de la fenêtre.
La buanderie et le bureau pourraient éventuellement être interchangés, selon les goûts. L’important est de laisser toutes les zones de vie dans la maison et de ne pas les arrimer à un couloir étroit.
Ainsi, on peut créer un grand sas d’entrée puis une entrée d’appartement, où tout de suite à gauche, une double porte invite à la cuisine-salon.
Celui qui veut se retirer rapidement peut passer par le salon : les parents tout droit (la chambre peut aussi être meublée autrement), les enfants ont un grand couloir devant leurs portes. Au centre un grand salon où il y a de la place pour la télévision ainsi qu’un coin canapé et éventuellement un bureau.
Quand les parents veulent un peu plus de calme, ils peuvent regarder la télé dans la chambre. L’emplacement est assez proche des chambres d’enfants, mais séparé tout de même.
Enfin, j’aimerais encore dire quelque chose au sujet des fenêtres prévues : elles ne sont pas optimales non plus dans les espaces polyvalents. Au moins ici, il faudrait prévoir de plus grandes façades vitrées, si la structure le permet. Car même les interruptions des petites fenêtres par des murs peuvent donner un aspect carcéral, car on trouve un élément perturbateur, un mur, dans le champ de vision.
Il est certain que a dû avoir quelques idées à propos de l’un ou l’autre, et il est aussi certain que Monsieur l’Architecte a réfléchi à ce qui est possible ou non.
Ils ont tous les deux de longs couloirs. J’ai étudié les plans plusieurs fois.
Mon avis : Fondamentalement, tout le "secteur enfants" chez Kerstin est beaucoup mieux conçu. Il est plus ouvert, les chambres sont plus attrayantes.
On s’en fiche de la symétrie des fenêtres, personne ne reste là de toute façon, car c’est bien connu, c’est une zone en lisière.
Et a prononcé le mot que j’avais dans le ventre et qui ne venait pas à mon esprit : l’impression de couloir de prison.
Ce couloir qui serpente autour du salon, on peut s’en passer. Vraiment !
Il faut garder à l’esprit que chaque membre de la famille doit parcourir ce couloir plusieurs fois par jour. Chaque personne est ainsi isolée des autres si elle veut se retirer.
Honnêtement, j’aurais peur en cas d’incendie. Peut-être que ce sentiment d’oppression est un peu exagéré à l’époque où les messages remplacent les conversations ??? :eek:
Je ne comprends même pas pourquoi le salon en tant que pièce de passage a été défini comme un no-go dans le post d’entrée. L’a-t-il vraiment été ?
Le fait est qu’on apprend, à différentes étapes de la planification d’une maison, à accepter certaines choses comme acquises et à être prêt à tolérer plutôt l’une que l’autre. Je peux aussi comprendre, avec trois enfants, que l’on préfère avoir la cuisinière dans une pièce fermée.
Mais n’est-ce pas aussi le cas dans une famille nombreuse qu’on cherche la communication ? Qu’on est plutôt prêt à avoir un point de communication central ?
J’ai fait quelques croquis, le secteur enfants de Kerstin, en laissant beaucoup de choses telles quelles, par exemple la cuisine, même si je l’ai un peu réduite et placé le lieu de communication près de la fenêtre.
La buanderie et le bureau pourraient éventuellement être interchangés, selon les goûts. L’important est de laisser toutes les zones de vie dans la maison et de ne pas les arrimer à un couloir étroit.
Ainsi, on peut créer un grand sas d’entrée puis une entrée d’appartement, où tout de suite à gauche, une double porte invite à la cuisine-salon.
Celui qui veut se retirer rapidement peut passer par le salon : les parents tout droit (la chambre peut aussi être meublée autrement), les enfants ont un grand couloir devant leurs portes. Au centre un grand salon où il y a de la place pour la télévision ainsi qu’un coin canapé et éventuellement un bureau.
Quand les parents veulent un peu plus de calme, ils peuvent regarder la télé dans la chambre. L’emplacement est assez proche des chambres d’enfants, mais séparé tout de même.
Enfin, j’aimerais encore dire quelque chose au sujet des fenêtres prévues : elles ne sont pas optimales non plus dans les espaces polyvalents. Au moins ici, il faudrait prévoir de plus grandes façades vitrées, si la structure le permet. Car même les interruptions des petites fenêtres par des murs peuvent donner un aspect carcéral, car on trouve un élément perturbateur, un mur, dans le champ de vision.