La plantation et la végétation sont bien sûr possibles. Cela s'applique également à une modélisation du terrain.
Je ne me souviens pas, au cours des presque 25 dernières années, d'une dépréciation qui se soit reflétée dans le prix. C'est simplement un morceau de jardin, de jardin avant ou quoi que ce soit d'autre. Dans ma maison avant-dernière, notre voie d'accès privée (qui appartenait en copropriété à quatre maisons jumelées) était grevée d'un droit de passage pour des conduites.
il a raison, tu ne peux pas disposer librement d'un terrain
c'est en principe un inconvénient
les inconvénients peuvent, mais ne doivent pas nécessairement, entraîner des dépréciations
concernant la plantation : par exemple, les arbres ne sont pas possibles
On ne constate pas une telle dépréciation sans expert ou une vente concrète avec négociation préalable.
Si on utilise soi-même le terrain non librement disponible comme un "simple" jardin, alors tout va bien. Il n'y a pas non plus de dépréciation sur les années.
Mais, si tu as un terrain maintenant, et que quelqu'un veut maintenant un droit de passage dessus, et que tu souhaites ensuite revendre le terrain, sa valeur peut être moindre à cause du droit de passage désormais inscrit.
Si tu achètes un terrain sur lequel des droits pèsent et que tu le revend ensuite, ce n'est plus une dépréciation, car elle s'est déjà produite auparavant.
À propos de ce qui précède :
Je trouve difficile de parler ici de 20-30 %, sans pouvoir le justifier d'une quelconque manière.