Je n’ai fait que reprendre et nommer le calcul du TE. Les 4 200 € sont d’ailleurs après 500 € de frais de gestion, qui sont déjà pris en compte. Tout est indiqué dans le post initial. Tu ne dois pas non plus négliger les paiements exceptionnels tarifaires/garantis, etc. Les bonus non garantis de 200 à 400 € par mois ont déjà été exclus, ceux-ci viennent en plus comme un supplément.
Les dépenses vont cependant aussi augmenter, car la voiture de fonction disparaît déjà. Au final, c’est toujours une histoire individuelle. Certaines personnes retrouvent facilement un emploi à peu près aussi bien payé, d’autres non. Surtout parmi les employés chers des groupes, beaucoup surestiment considérablement leur qualification et leur valeur sur le marché. Ce que je remarque aussi : très peu de ceux qui ont accepté une telle offre de départ par le passé ont pu obtenir un salaire comparable ailleurs. Ce qui n’est pas non plus surprenant à partir d’un certain seuil.
Tu sais comment c’est sur le marché immobilier dans les métropoles et grandes villes, ou comment il a évolué ? Malgré la crise, il les a (presque) épargnées et les prix augmentent déjà depuis un certain temps (fortement). Emplacement, emplacement, emplacement – comme toujours.
Et si tu ne trouves plus d’appartement avec 3/4 millions – alors tu es au chômage et plus lié au lieu –, alors là je ne sais plus non plus.
Le temps des emplois sûrs est déjà très loin derrière nous.
Pourquoi alors construire ou acheter, si on a déjà un appartement en location qui a une taille adaptée ? Prendre sans nécessité le « risque global » d’un bien immobilier au lieu d’investir son argent de façon raisonnable ?
Une maison, c’est une émotion. Mais les finances doivent rester rationnelles.
À la fin, c’est à de décider ce que la nouvelle maison vaut pour lui (ou pour eux deux). Mais il n’y a pas de grand risque de vie particulier.
Oui, les prix de l’immobilier pour les maisons individuelles dans les métropoles ne baissent pas encore malgré la crise économique. C’est logique aussi. La rareté règne encore (elle s’aggrave même à cause du manque de constructions neuves) et dans les secteurs bien payés, on embauche à peine, mais les licenciements massifs ne sont pour l’instant que annoncés, pas encore réalisés. Il n’y a donc pas de ventes forcées, et le reste est géré par l’argent ancien. Dans les segments plus faibles du marché c’est déjà différent. Mais je n’ai pas l’imagination que l’Allemagne se relèvera si vite et dans 5 ou 10 ans cela se reflétera vraiment dans les prix immobiliers, quand l’afflux ralentira aussi (les intelligences émigreront) et que la démographie aura un effet. Ce qui est vrai : si une mauvaise rentabilité réelle est obtenue avec un bien immobilier à plusieurs millions, un bien de remplacement plus petit dans la même zone devrait au moins devenir réellement moins cher.