Pouvons-nous vraiment nous permettre cela, et la banque soutiendra-t-elle cela?

  • Erstellt am 20.04.2025 22:51:11

Bertram100

28.04.2025 13:39:41
  • #1

C’est une erreur et une idée assez répandue parmi les hauts revenus. C’est justement parce qu’ils ont pu gravir tôt l’échelle des privilèges que tout semble possible.
 

Haus123

28.04.2025 13:47:48
  • #2


Ce n’est pas si éloigné. Avec la méthode de nordanneys (acheter des appartements financés par crédit avec peu de capitaux propres et les revendre sans impôts avec bénéfice après 10 ans), on a pu réaliser des rendements phénoménaux au cours des 15 dernières années. Il n’est pas nécessaire de faire appel à René Benko, mais avec cette méthode, un citoyen lambda pouvait tout à fait accumuler des fortunes considérables. La question est de savoir si cela fonctionnera encore dans des conditions changeantes à l’avenir, et là je suis assez sceptique.
 

motorradsilke

28.04.2025 13:49:22
  • #3

Non, chez nous les jours de congé ne sont plus limités.
Mais avec assez d’argent, on peut aussi s’offrir une pause quand les enfants n’ont plus besoin de garde.
 

Haus123

28.04.2025 13:51:35
  • #4


Surtout, on n'est pas conscient de la hauteur de la chute ni du fait que l'air devient de plus en plus rare en haut. Une infirmière ou un artisan peut déjà demain trouver un nouveau travail à tout moment. Un "fonctionnaire de grande entreprise" peut en revanche chercher longtemps dans la situation actuelle. Bien sûr, il y a aussi des exceptions demandées même maintenant et chaque emploi bien rémunéré est différent. La majorité a en revanche des difficultés si elle est concernée demain par le prochain programme de réduction. On ne s'en rend compte que lorsqu'on est soi-même touché. C'est probablement aussi mieux psychologiquement.
 

nordanney

28.04.2025 13:57:52
  • #5

Je t'envie. Il faut encore attendre quelques années avant que les enfants soient assez grands.
 

nordanney

28.04.2025 14:08:29
  • #6

En fait, il existe diverses statistiques à ce sujet. Par exemple, le chômage des diplômés universitaires ne représente qu’un tiers à la moitié du chômage général, ou une étude montrant que le nouvel emploi pour les cadres très bien payés est retrouvé en environ 3 à 6 mois.
Je le constate au moins chez nous dans la finance, l’informatique, la conformité, le reporting, la vente, où les collègues ne peuvent certes pas choisir leur emploi, mais les chasseurs de têtes appellent toujours sans cesse. Ou bien nous engageons les chasseurs de têtes.
Ils font même revenir les retraités avec des offres immorales.
 
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