Par une connaissance, nous avons reçu la recommandation d’un architecte (son mari).
Tout le monde le sait déjà depuis l’époque où l’inspecteur principal Derrick était encore en fonction, que les alibis des épouses ne valent pas grand-chose *MDR* *SNR*
Notre maison prévue est devenue beaucoup plus grande que ce que nous pensions (nous avions indiqué 170m2 - c’est maintenant 240m2)
L’architecte disait toujours que ce serait des coûts supplémentaires maîtrisables.
40% de plus comme ça, il n’est pas besoin d’être diplômé pour voir que qualifier ça de « maîtrisable » laisse penser à un bon vivant. Quel genre de connaissance est-ce - blouse en soie, ongles impeccables, daimler cabrio ?
Une chose est sûre : un dépassement de budget est inévitable dans ces conditions (peu importe à qui l’on confie le projet).
Naïfs et confiants comme nous l’étions, nous avons signé avec lui un contrat allant de la planification préliminaire jusqu’à l’approbation.
On ne choisit jamais ce champ de prestations, c’est celui préféré des architectes incapables d’estimer les coûts et inutilisables même pour la conduite des travaux.
Comment est formulé le mandat à l’architecte dans le contrat ?
Je suis curieux de voir ce que les professionnels en penseront. En tant que profane naïf, je dirais : l’architecte n’a pas rempli sa partie du contrat. Sa prestation a une valeur limitée pour vous. Il faudrait le payer en fonction, mais bien en rapport avec l’utilité que par exemple l’analyse des besoins a pour vous. Et sûrement pas selon HOAI phases 1/2. Non ?
C’est une bonne approche de ta part, on peut agir ici au niveau de l’analyse des besoins. Alors M. l’architecte devra s’accrocher, je prévois bientôt que sa prime d’assurance responsabilité professionnelle va augmenter.