@DrHix
Toute la surface fait partie d’une zone de protection paysagère. Donc aussi celle sur laquelle la maison est construite. C’est pourquoi il y a cette interdiction, même si je devais la démolir, de reconstruire quelque chose au même endroit. Pourquoi alors évaluer cette partie de la surface avec la valeur foncière et seulement le reste au prix des terres agricoles/jardinières ?
Je veux juste comprendre. J’accepte (ce qui ne veut pas dire « je paie ») tout prix de vente de mes propriétaires si je suis convaincu que le terrain vaut réellement ce prix. Et non pas un prix simplement fixé dans l’attente que quelqu’un paiera ce prix élevé. Donc quelqu’un avec une richesse accumulée plus grande, héritée ou acquise de manière plus ou moins douteuse (oui, je peux l’écrire ainsi, car dans très peu de cas le propriétaire de cette richesse peut la gagner par un travail personnel justement rémunéré, mais c’est une autre affaire).
La distinction est probablement faite parce qu’il s’agit de la zone périphérique et qu’il n’est donc pas autorisé d’y construire (davantage) ; il ne peut donc pas s’agir d’un terrain constructible régulier (terrain à usage potentiel).[ /QUOTE]
Est-ce que cela s’applique automatiquement à la zone périphérique ? Je pensais que seulement si c’est une zone de protection paysagère.
[QUOTE]Personnellement, j’achèterais un tel bien seulement s’il est vraiment bradé ou si je peux dépenser au moins un million pour me le faire vraiment beau.
Je l’achèterais si la valeur « réelle » + X (X dépendant de mon désir de ne pas devoir déménager) se trouve dans ma capacité de paiement possible.
Tant qu’il n’y a aucune chance de faire changer le propriétaire de sa demande manifestement exagérée, cela n’a bien sûr aucun sens.
Je pense plutôt qu’une expertise de valeur pourrait aider à faire corriger la demande du propriétaire. Je pense qu’ils sont actuellement eux-mêmes persuadés que le terrain vaut autant par manque d’information. C’est pourquoi je rassemble ces informations maintenant. L’expertise ne serait bien sûr demandée que si elle pouvait contribuer à convaincre dans ce sens.
Cela a certes un certain charme, mais heureusement ce n’est pas comparable à la cathédrale Saint-Pierre.
Je trouve inutile de réfléchir à la concurrence sur le marché et à combien je devrais offrir pour ne pas être dépassé, car je ne pourrais pas le payer et je ne le voudrais pas non plus. Car même si je le pouvais, cela me répugne totalement de jouer le jeu d’un marché immobilier devenu pervers surtout ces dernières années.
Non, ce que je veux, c’est juste déterminer la valeur réelle (c’est-à-dire exclure la spéculation) du terrain (qui doit être déterminée aussi par le type de surface et les restrictions qui en découlent ainsi que par les coûts plus importants déjà prévisibles à cause de l’état mauvais de la route et de la maison) et ensuite fixer combien je suis prêt à payer.
Si quelqu’un d’autre veut payer un prix surélevé, c’est sa malchance, je ne peux rien y changer. Donc je ne dois plus y penser.
Pour moi, il est aussi important de déterminer la valeur réelle parce qu’il se pourrait que je sois un jour obligé de revendre. Alors il faut que ce soit, premièrement, revendable et, deuxièmement, que ce ne soit pas seulement pour la moitié de ce que j’ai payé.
Nous n’avons pas encore négocié. Il y a quelques mois, j’ai simplement répondu à la proposition de prix des vendeurs que, selon mon ressenti, cela valait plutôt 80 000. À ce moment-là, aucune des deux parties n’a vraiment réfléchi ou cherché d’informations sur les restrictions ou les coûts supérieurs à venir.
La négociation concrète aura lieu dans les prochains jours.
Une expertise de valeur m’intéresserait plutôt pour moi-même, pour avoir un point de référence sur combien je suis prêt à payer, cf. ci-dessus : valeur « réelle » (par exemple déterminée par expertise) + X (X dépendant de mon attachement à rester ici).
Le terrain est plutôt en pleine cambrousse. À 30 minutes en voiture de la plus grande ville la plus proche (je considère cela comme de la cambrousse ; du moins pour la plupart de mes connaissances habituées à la ville, c’est déjà trop loin et il faut un événement particulier pour les faire sortir de là).