Non, je ne le fais pas.
Car c’est certes exagéré, mais ça montre bien la folie quotidienne quand quelqu’un veut juste un peu de paix.
Mon Dieu, comment vivez-vous donc ?
Alors que l’un veut un soir sur trois être tranquille loin de sa femme et de ses suivantes, l’autre veut simplement mener à bien son cycle de sommeil en paix.
Ce ne sont pas seulement les enfants qui cherchent le calme dans leur tanière pour dormir, surtout les adultes veulent quelques heures de sommeil pour eux, malades ou en bonne santé, matin ou soir, stressés ou non... et il y a toujours quelqu’un qui doit traverser la chambre.
J’en ai juste assez d’écrire offensivement ce qui est évident. Le maître d’ouvrage doit faire fonctionner son propre cerveau : une chambre ne doit plus être une pièce de passage. Jamais !!!
C’est complètement exagéré. Qui donc devrait traverser là ?! Des aides-ménagères fictives, qui, si elles existaient, viendraient une fois par semaine et apparemment justement à ce moment-là, quand le chef de famille pourrait exceptionnellement rester une heure au lit... oh là là, Dieu nous a donné la langue (ou un message, ou autre chose). Une porte fermée peut tout simplement signifier porte fermée - comme à l’hôtel - cela peut aussi s’organiser. Qui a d’ailleurs laissé entrer l’aide-ménagère ?
Les salles de bains attenantes ont justement la caractéristique d’être accessibles par la chambre. C’est le BUT d’une salle de bains attenante, donc il est INUTILE de râler à propos de cette caractéristique.
D’ailleurs, je ne pense pas que cette maison ait un problème de densité de toilettes. Si cela tenait vraiment à trois pas (et ce n’est pas important), la salle de bains d’enfant serait accessible.
La chambre n’est pas une pièce de passage. Personne n’a (régulièrement) rien à y faire, sauf les parents. La salle de bains attenante ne transforme pas la chambre en pièce de passage, tout comme un dressing attenant ne le ferait pas, par exemple. (attention, l’aide-ménagère fictive pourrait aussi vouloir y mettre du linge, supprimez le dressing !!!)
Je tolère les constructions comme illustrations, mais pas quand elles deviennent absurdes, comme dans ce cas.