Winniefred
12.03.2019 08:41:46
- #1
Tout d'abord, je suis vraiment désolé que le destin vous frappe aussi durement. C’est terrible. Je vous souhaite de tout cœur que vous puissiez adopter un enfant !
Sur le sujet : en gros, c’est un cercle vicieux. Personne ne sait s’il aura des enfants ni combien, s’il construit encore sans enfant. C’est toujours un jeu de poker. Lors de l’achat, nous avions déjà nos deux enfants et mon mari ne veut pas de troisième, et moi non plus, désormais. Mais quand on est sans enfant, il faut simplement deviner ce dont on aura besoin plus tard. Soit on a bien deviné, soit on s’est trompé vers le haut ou vers le bas. En cas de besoin, on agrandit ou les enfants doivent partager une chambre, ou bien on a des chambres de libre ; un bureau, une chambre d’amis, une pièce de loisirs ou de jeux n’ont encore fait de mal à personne. Les coûts élevés dus à un désir d’enfant non comblé, que ce soit par différentes méthodes de fertilisation ou par adoption, représentent un poste important, c’est vrai, mais on pourrait aussi théoriquement dire que des enfants existants ou un partenaire tombent gravement malade ou ont un accident et que ces maladies/déficiences coûtent aussi tellement d’argent que la famille atteint ses limites. En ce sens, je pense qu’il faut simplement prendre un risque ; mais ce risque, chacun d’entre nous le prend chaque jour – la vie peut s’arrêter brutalement chaque jour ou basculer. Il y a tellement d’options qu’on ne peut tout simplement jamais tout peser et prévoir.
Sur le sujet : en gros, c’est un cercle vicieux. Personne ne sait s’il aura des enfants ni combien, s’il construit encore sans enfant. C’est toujours un jeu de poker. Lors de l’achat, nous avions déjà nos deux enfants et mon mari ne veut pas de troisième, et moi non plus, désormais. Mais quand on est sans enfant, il faut simplement deviner ce dont on aura besoin plus tard. Soit on a bien deviné, soit on s’est trompé vers le haut ou vers le bas. En cas de besoin, on agrandit ou les enfants doivent partager une chambre, ou bien on a des chambres de libre ; un bureau, une chambre d’amis, une pièce de loisirs ou de jeux n’ont encore fait de mal à personne. Les coûts élevés dus à un désir d’enfant non comblé, que ce soit par différentes méthodes de fertilisation ou par adoption, représentent un poste important, c’est vrai, mais on pourrait aussi théoriquement dire que des enfants existants ou un partenaire tombent gravement malade ou ont un accident et que ces maladies/déficiences coûtent aussi tellement d’argent que la famille atteint ses limites. En ce sens, je pense qu’il faut simplement prendre un risque ; mais ce risque, chacun d’entre nous le prend chaque jour – la vie peut s’arrêter brutalement chaque jour ou basculer. Il y a tellement d’options qu’on ne peut tout simplement jamais tout peser et prévoir.