11ant
06.09.2024 17:02:48
- #1
Le risque qui subsiste : le terrain n’est pas exactement celui situé à l’emplacement indiqué dans le plan d’aménagement. En effet, le plan utilise d’autres numéros de parcelles cadastrales et les terrains ne sont pas encore divisés. À vue d’œil, c’est clairement ce terrain qui est inclus dans le plan d’aménagement.
Aïe. Donc le problème n’est pas que l’emplacement du terrain soit incertain quant à son inclusion dans le périmètre du plan d’aménagement. Il n’y a pas non plus de ligne de démarcation qui séparerait les terrains pour bungalows des terrains pour immeubles, et vous n’êtes pas non plus limités à un modèle de maison spécifique. « Seulement » (mais à ne pas sous-estimer) le vendeur veut vendre le terrain sous l’ancienne « numéro de parcelle », et vous entreriez par l’acquisition en position de créancier du remembrement. Mais même si la division n’est pas encore réalisée (bornage, mesurage de division), les numéros de parcelles différents entre le contrat de vente et le plan d’aménagement doivent bien venir de quelque part, et le contrat de vente doit pouvoir désigner clairement le terrain acheté. Je ne comprends pas encore ce qui est exactement vendu ici, vous parlez en tout cas d’une identité apparente des parcelles « ancien numéro »/terrain souhaité pour la construction. Montrez concrètement (merci de ne pas prendre un champ de vision inférieur à environ 100 mètres de diamètre, mais au moins toutes les parcelles concernées par la division) un extrait cadastral et un extrait du plan d’aménagement. De quoi s’agit-il au juste - cas A, comme je le suppose, remembrement avec création d’espaces publics de circulation (presque aucune pierre ne reste sur l’autre, presque tout le monde reçoit un nouveau terrain plus petit) ou cas B (terrain existant divisé en terrain de devant et terrain en cul-de-sac ou en voie privée avec plusieurs lots à bâtir) ?