dertill
19.08.2019 20:09:14
- #1
La brique de 36 aura probablement une valeur U d'environ 0,24 W/m2K au lieu de 0,28.
Cela correspond à environ 0,04 * 70 kWh de chauffage en plus par an et par m2 de mur. Pour 100 m2 de mur, cela fait donc 300-400 kWh de chaleur par an, soit environ 100 kWh d'électricité. Tu peux maintenant mettre en face les 8 000 € et calculer si tes petits-enfants vivront assez longtemps pour les récupérer.
Ou alors tu construis ta propre installation photovoltaïque pour 8 000 € / 5 kWc sur le toit et tu as chaque année une production d'électricité de 5 000 kWh.
Le chauffage ne deviendra donc pas plus cher, il est de toute façon presque toujours trop grand et on peut beaucoup plus influencer la température de départ et le coefficient de performance annuel grâce à la conception et à la planification du circuit de chauffage. Mets beaucoup d'isolation là où elle coûte peu. Donc dans le toit et de préférence sans ponts thermiques (cela demande en effet un peu de réflexion).
Ce n’est pas vraiment de la haute mathématique et même si les chiffres ne sont que des estimations grossières, c’est un « no-brainer ».
Cela correspond à environ 0,04 * 70 kWh de chauffage en plus par an et par m2 de mur. Pour 100 m2 de mur, cela fait donc 300-400 kWh de chaleur par an, soit environ 100 kWh d'électricité. Tu peux maintenant mettre en face les 8 000 € et calculer si tes petits-enfants vivront assez longtemps pour les récupérer.
Ou alors tu construis ta propre installation photovoltaïque pour 8 000 € / 5 kWc sur le toit et tu as chaque année une production d'électricité de 5 000 kWh.
Le chauffage ne deviendra donc pas plus cher, il est de toute façon presque toujours trop grand et on peut beaucoup plus influencer la température de départ et le coefficient de performance annuel grâce à la conception et à la planification du circuit de chauffage. Mets beaucoup d'isolation là où elle coûte peu. Donc dans le toit et de préférence sans ponts thermiques (cela demande en effet un peu de réflexion).
Ce n’est pas vraiment de la haute mathématique et même si les chiffres ne sont que des estimations grossières, c’est un « no-brainer ».