Je résume : le terrain est libre de tout promoteur, mais il semble toutefois vendu par un opérateur de développement (associé à la commune ?) qui veut déjà savoir lors de la vente comment on envisage de construire (?); son idée d’uniformité a donné naissance aux 115 cm de hauteur du mur de toit.
En fait, j’étais globalement satisfait du plan et je voulais juste des conseils pour ou contre une entreprise de construction
Au final, tu es j’espère content que l’on ne te laisse pas tomber dans ce piège ici. En général, une entreprise de construction ne renvoie pas une co-contractante les mains vides si elle voit une chance d’obtenir un tampon d’approbation – et cette chance serait malheureusement donnée : le bureau des constructions ne se soucierait pas des heures supplémentaires pour tes angles de murs intérieurs sculptés à la main, là-bas on apposerait une croix à chaque absurdité conforme aux normes formelles. Décidé et annoncé, la maîtresse d’ouvrage peut se rendre malheureuse ; et l’entreprise met un prix. Ensuite, la banque dit que le prix correspond à ta solvabilité, et tu serais malchanceuse. Tu serais même un moment d’abord ravie. Parce que ni les entreprises de construction ni les bureaux d’urbanisme n’emploient de conseillers qui pourraient encore empêcher ce genre de destin. Et ensuite quelqu’un se tient dans sa baraque mal construite finie et ne peut pas croire que des spécialistes ne l’aient pas averti. Mais ce n’est pas leur travail. L’entrepreneur doit aussi nourrir la bouche de sa famille ; et le chargé de l’autorisation, dans un esprit de bonne volonté envers les citoyens, ne s’oppose pas à un souhait de construction qui lui fait secouer la tête, si la réalisation est autorisable. Avons-nous au moins pu maintenant ébranler ta satisfaction (au point que tu comprennes pourquoi) ?
Si les données de base sont certaines, tu les communiques à nouveau
Comme je le comprends, le plan d’aménagement dit clairement que le cadre est plus grand ; mais le vendeur peut encore choisir quelqu’un d’autre si l’on exploite davantage le cadre autorisé au lieu de la petite maison plus acceptable pour lui. Ce dernier point me paraît néanmoins, même avec une planification plus habile, quelque chose que l’on ne devrait pas rejeter d’un revers de la main. La contradiction apparente entre un bâtiment d’un étage et demi et un de deux étages tient probablement à la particularité de l’étage complet à Berlin-Brandenburg.