L'aménagement intérieur ne devrait guère différer des autres.
Il est possible que la vie dans d'autres pays te manque pour penser « hors de la boîte allemande ». Ici, peu de gens peuvent imaginer que l'on puisse poser des conduites d'eau visibles. Dans d'autres pays, c'est tout à fait normal. Ce n'est qu'un petit exemple. Ceux qui ne sont pas gênés par ce genre de choses peuvent réaliser une grande efficacité des coûts aussi dans l'intérieur. Bien sûr, il y a des exigences et des normes, mais en fin de compte, dans une maison privée, tu peux à peu près faire ce que tu veux à beaucoup d'endroits. Ceux qui ne se soucient pas de ce que « l'on » fait habituellement en Allemagne ont un autre horizon de décision.
L'aménagement intérieur est probablement disproportionnellement de grande qualité comparé au gros œuvre. C'est comme si l'on montait un moteur de Ferrari dans une Dacia.
On appelle cela un « sleeper » et c'est assez cool pour certains. J'aime mon « sleeper » (tout est dûment inscrit et jamais utilisé dans des « courses » stupides). D'ailleurs, cet exemple est très bon, car en matière de qualité de la carrosserie, la Dacia ne devrait pas être inférieure à la Ferrari quand il s'agit des valeurs fondamentales de durabilité.
Conseil : fonction recherche. Il y en a quelques-uns ici qui ont un toit similaire (et qui sont quasiment tous insatisfaits).
Bon conseil !
Concernant le plan : il n'est vraiment pas pour moi, car je suis accro à la lumière et à la vue sur l'extérieur. Je trouve que transformer le couloir, qui paraît trop grand sur le plan, en « dressing » avec beaucoup d'espace de rangement est une bonne idée. À mon avis, cela ne fonctionne pas dans la « pièce d’habillement ». Avec deux rangées d’armoires, tu ne feras en pratique que déposer et prendre des vêtements, mais tu ne te changeras pas et encore moins ne t’habilleras là, car la liberté de mouvement est assez restreinte. Pour la pièce d’habillement, ma pensée est : soit bien, soit pas du tout. Je trouve la chambre d’enfant agréablement spacieuse, mais assez « mise à l’écart ». Ce n’est pas optimal pour des enfants ; à partir de la puberté, cela sera perçu comme un avantage.