pagoni2020
31.07.2020 10:44:49
- #1
Même si un jour je dois le vendre, j'ai au moins la possibilité de reconstituer un peu de capital propre.
J'avais aussi pensé à AirBnb, mais là j'aurais en fait des « locataires » qui changent constamment et pas de loyer garanti. Avec une « colocation », on pourrait compter sur des revenus locatifs relativement réguliers. Je ne sais juste pas si je dois déclarer le loyer dans la déclaration d’impôts, ou s’il est imposé à partir de 400 € alors que je rembourse encore la maison.
Tes revenus locatifs, comme les autres revenus, devront sans doute être déclarés fiscalement. À l’époque, je n’avais volontairement PAS loué via Airbnb et grâce à certains paramètres, tu peux aussi t’éviter des désagréments. Une maison élégante, meublée de manière remarquablement particulière (chez nous, à l’époque, avec des meubles vraiment chouettes mais d’occasion, photographiée et présentée de façon professionnelle) se louera mieux que tu ne peux l’imaginer. Pourtant, tu n'as pas de revenu facilement prévisible. Je referais ça à tout moment, car en cas de vacance locative, tu peux toujours y habiter toi-même. Cela ne me posait aucun problème, et nous avions ainsi notre propre appartement de vacances, mais il faut le vouloir (éventuellement une chambre verrouillable pour tes affaires). Pour moi, ce n’est pas un problème, mais plutôt un luxe et une option pour « survivre » financièrement au chaos et garder la maison. Avant, j’avais des locataires fixes, mais mes revenus d’appartement de vacances étaient vraiment bien supérieurs.
Avec une conception/équipement/tarification appropriés, tu attirerais aussi une clientèle qui ne te poserait aucun souci. Je n’ai eu absolument AUCUN problème !
Important néanmoins : tu as besoin sur place de quelqu’un qui s’occupe de la maison, fait le ménage, etc., une sorte de « bonne fée » (oui, il y a aussi des fées masculines !), sans cela, ce n’est définitivement pas possible !