Jusqu'à présent, nous avons supposé que la cote de référence pouvait correspondre au niveau du sol du rez-de-chaussée, mais ce n’est pas obligatoire.
En raison des cotes de référence des terrains voisins, j’ai rapidement envisagé de remblayer et d’égaliser volontairement la cote de référence avec le niveau du sol du rez-de-chaussée.
Je souhaite pouvoir regarder de mon rez-de-chaussée jusqu’à l’égout du toit du voisin sans rigidité d’angle. Pour éviter à tout prix (bon, pas à tout prix, mais peut-être à une petite augmentation de budget) la situation dans laquelle nos voisins actuels se trouvent avec notre location : un immeuble de 3 étages contre un bungalow...
Contrairement à un revêtement de sol, le niveau du sol ne peut plus être modifié après quelques années.
Et là, je serais effectivement prêt à augmenter un peu le budget pour le déplacement des terres.
Donc il n’y avait pas d’informations erronées de la part de nos entreprises concernant la cote de référence et nous pouvons très bien fixer le rez-de-chaussée à 210,5 ? Ce n’était pour toi qu’une recommandation de considérer le terrain réel au centre de la position de la maison comme niveau de sol du rez-de-chaussée.
Si nous restons dans la variante « tonneau sans fond » avec cote de référence 210,5 = niveau du sol du rez-de-chaussée, est-ce que la position des travaux de terrassement resterait alors « seulement » plus incertaine ou est-ce que cela deviendrait inabordable voire impossible à réaliser ? Y aurait-il une estimation approximative des coûts (peut-être en prenant le pire cas) des frais à prévoir pour l’alignement à la cote de référence 210,5 ? Parle-t-on de 20k de plus, 100k de plus ou bien beaucoup plus ?
Le tonneau sans fond résulterait-il « seulement » du remblaiement et donc d’une pente à retenir ? Si la terre creusée était adaptée, on pourrait l’utiliser pour le remblaiement et économiser le transport ? Ou est-ce trop naïf ? En fin de compte, il faudrait même creuser moins profondément que pour ta cote de sol recommandée à 209. Alors mon sous-sol serait situé 1,5 m plus bas et même sous le point le plus bas du terrain.
Dans ce cas, nous aurions certainement les coûts supplémentaires pour une pompe de relevage adaptée aux eaux usées. Si nous planifions un bâtiment de 3 étages et que le sous-sol/cave est encore un sous-sol habitable mais sans WC ni douche, ce coût pourrait être évité. Pour cela, on peut ensuite compenser quelques mètres de pente de nouveau.
Où puis-je trouver les spécifications pour la modélisation du terrain, le code du bâtiment régional et le code de l’urbanisme ?
Il n’y a effectivement pas de restrictions dans le plan d’aménagement, sauf une longueur totale maximale du bâtiment de 16 m.
Pour la modélisation du terrain, il n’y a que ce passage dans le plan d’aménagement :
« Pour la modélisation du terrain des parcelles ou pour compenser des différences de hauteur le long de la limite de la voie publique, des talus d’au maximum 1:1,5 ainsi que des murs jusqu’à 2,0 m maximum sont autorisés. Le long des chemins de campagne, une distance de 0,5 m doit être respectée entre les murs et la limite. »
Je n’ai pas encore lu ta position concernant les fenêtres de toit. Nous habitons actuellement un appartement en duplex (construction 2014) au 2ème étage avec fenêtres de toit dans la salle de bains, la chambre et les WC invités. La résine des lames des volets roulants se détache. Sur le côté ouest complètement.
De véritables cascades de condensation coulent en période de gel (ventilation par rainure dans le cadre et double vitrage seulement ; éventuellement une ventilation « correcte » et un triple vitrage pourraient remédier à cela). En été, personne n’ose ouvrir les volets et on vit dans le noir. Aérer sous la pluie est exclu. Le nettoyage est compliqué (à comparer aux lames des stores vénitiens c’est mieux). Avec un mur de soubassement de 1,20 m, on ne voit que le ciel. Par conséquent, les fenêtres à double vantail, seulement comme option supplémentaire d’éclairage de la pièce, certes vraiment bien adaptées pour cet usage, sont une option pour moi.
Mon « second appartement » dans la maison parentale est au sous-sol. Les avantages et inconvénients me sont donc connus. Il ne me manque que l’imagination pour une maison unifamiliale. La maison parentale est conçue sur la base d’une maison bifamiliale. Par conséquent, j’ai passé mon enfance sur seulement la moitié du terrain puisque chaque étage possède un jardin. L’accès au jardin joliment aménagé était trop compliqué pour utiliser la terrasse à ce niveau. Seule la partie arrière du jardin, où une cabane de jardin et une terrasse ont été ajoutées par la suite, était utilisée. Ce n’était pas prévu à l’époque. La vue depuis le séjour est agréable, mais il n’y a pas d’accès au jardin puisque le sous-sol en a un dessous... Et c’est précisément cela, ces deux espaces de jardin totalement séparés, que je ne souhaite pas. On peut avoir deux niveaux de jardin raccordés par une pente praticable ou un escalier. Ici, je vois cependant au maximum une pente ou un escalier d’un demi-étage et pas d’un étage complet.
Nous en sommes encore au début des plans. Chaque jour qui passe me rend plus conciliant.
peut-être lis-tu ceci. Je ne peux pas encore envoyer de MP car je n’ai pas encore assez de messages. Nous habitons à seulement quelques kilomètres. Si j’ai bien suivi votre projet, vous semblez rester en dessous de 600k ? Si c’est le cas, je vois effectivement des chances de réaliser notre maison de rêve sans trop de compromis, mais avec une augmentation du budget.