HeimatBauer
03.10.2023 19:25:24
- #1
Mes potes sont ingénieurs en génie civil et techniciens en installation, ils ont un cabinet d’ingénierie commun et réalisent des bâtiments industriels, scolaires et de bureaux. Ils sont sur les chantiers depuis des décennies et savent tout simplement ce qu’il faut construire, pourquoi et comment. Pendant l’avancement des travaux, ils étaient chaque semaine sur le chantier et ont signalé certains points importants qui ont ensuite été corrigés. Mais ils ne font pas de construction résidentielle.
Par exemple, ils m’ont débité des idées folles comme « je ne veux pas de ventilation centrale parce que les ventilations provoquent de la moisissure » – oui, il y a des années, je pensais vraiment ça. Ils ont aussi démonté de manière approfondie diverses lubies « déco » qui ont circulé dans le village un jour, du genre « j’ai entendu parler du chauffage miracle XYZ, je veux ça ».
Ils sont aussi habitués au modèle où un client, qui s’est fait dessiner par un architecte star un palais des Doges taillé dans la masse, le lui balance sur la table en disant : « Planifie-moi ça. Je veux une chaîne de montage de chars au 18e étage, la maison sera construite en bois de balsa et doit être une maison passive même sans système de ventilation ». Ils m’ont donc effectivement expliqué la possibilité d’aller d’abord voir un architecte. Pour moi, il était alors plus important qu’ils m’expliquent ce qui est important lors du choix du [GU], qu’ils dissèquent en détail le cahier des charges des prestations, et ainsi de suite.
C’était ma première maison et j’affirme que c’est devenu extrêmement bien pour ça. Donc, pour rester sur le dicton « la première pour l’ennemi, la deuxième pour l’ami et la troisième pour soi », c’est déjà pour un très bon ami.
Tout confier au [GU] était aussi motivé par l’aversion au risque de ma femme ainsi que la pression du temps. Je l’admets, au moment de décider de construire, j’étais incroyablement ignorant – À QUEL POINT ignorant, je ne l’ai compris qu’après coup de manière approximative. Je ne connaissais pas les options, je n’avais ni la force ni la ténacité pour imposer l’option plus compliquée. À un moment donné, pour moi, il était juste important de commencer enfin. Avec le recul, tout n’était pas à 100 % parfait mais beaucoup de choses se sont déjà révélées très bonnes.
Par exemple, ils m’ont débité des idées folles comme « je ne veux pas de ventilation centrale parce que les ventilations provoquent de la moisissure » – oui, il y a des années, je pensais vraiment ça. Ils ont aussi démonté de manière approfondie diverses lubies « déco » qui ont circulé dans le village un jour, du genre « j’ai entendu parler du chauffage miracle XYZ, je veux ça ».
Ils sont aussi habitués au modèle où un client, qui s’est fait dessiner par un architecte star un palais des Doges taillé dans la masse, le lui balance sur la table en disant : « Planifie-moi ça. Je veux une chaîne de montage de chars au 18e étage, la maison sera construite en bois de balsa et doit être une maison passive même sans système de ventilation ». Ils m’ont donc effectivement expliqué la possibilité d’aller d’abord voir un architecte. Pour moi, il était alors plus important qu’ils m’expliquent ce qui est important lors du choix du [GU], qu’ils dissèquent en détail le cahier des charges des prestations, et ainsi de suite.
C’était ma première maison et j’affirme que c’est devenu extrêmement bien pour ça. Donc, pour rester sur le dicton « la première pour l’ennemi, la deuxième pour l’ami et la troisième pour soi », c’est déjà pour un très bon ami.
Tout confier au [GU] était aussi motivé par l’aversion au risque de ma femme ainsi que la pression du temps. Je l’admets, au moment de décider de construire, j’étais incroyablement ignorant – À QUEL POINT ignorant, je ne l’ai compris qu’après coup de manière approximative. Je ne connaissais pas les options, je n’avais ni la force ni la ténacité pour imposer l’option plus compliquée. À un moment donné, pour moi, il était juste important de commencer enfin. Avec le recul, tout n’était pas à 100 % parfait mais beaucoup de choses se sont déjà révélées très bonnes.