Et c’est sûr ? Il n’y a pas non plus d’accords de voisinage ou même de garanties inscrites au cadastre ? Quand les maisons ont-elles été construites ? Quand ces fenêtres ont-elles été installées ?
Autant que je sache, il y avait auparavant des pavés de verre qui ont été remplacés par des fenêtres coupe-feu lors de la rénovation (à l’exception de la petite fenêtre de la salle de bains avec la grille), je ne sais pas encore si le voisin a une autorisation à ce sujet. À l’époque, seul un accord verbal de mon père avait été donné.
La dame du service d’urbanisme avait vérifié si quelque chose était inscrit au cadastre sur notre terrain, ce qui n’était pas le cas, c’est pourquoi elle a supposé que ces fenêtres ne sont pas autorisées.
Comment cela s’est-il produit ? Qui a demandé quoi et de quelle manière ?
J’avais posé des questions par e-mail concernant le droit de l’urbanisme, car une visite n’est pas possible en ce moment à cause du Corona.
Je voulais éviter inutilement des allers-retours pour la planification ultérieure et connaître d’abord quelques éléments fondamentaux.
Nous ne savions pas que ces fenêtres deviendraient un problème, car nous ne pensions pas que la reconstruction serait un problème étant donné l’ancienne autorisation déjà en vigueur.
D’après les informations actuelles, l’avis du service d’urbanisme est plus que discutable.
Je le pense aussi, je suppose simplement que le bureau a répondu aux questions de manière très sommaire pour se couvrir. Peut-être que ce sera complètement différent lors de la demande de préavis de construction. (Qui sait)
L’autorisation est bien sûr expirée et n’a donc plus beaucoup de valeur. Pour l’emplacement de la maison, il s’agit cependant de droit de l’urbanisme et il ne s’est pas passé grand-chose à ce sujet ces 30 dernières années, de sorte que cette autorisation exige des arguments rejetant plus solides de la part de l’administration que ce que je peux lire ici.
Exact, l’autorisation est expirée, mais c’est la preuve qu’apparemment il n’y avait pas de problème à l’époque. Il me manque cependant des raisons concrètes pour expliquer pourquoi cela ne serait plus possible aujourd’hui, au-delà du simple « autrefois, on ne contrôlait pas autant qu’aujourd’hui ».
Il y a marqué 38 ? On peut donc voir à quel point ils travaillent soigneusement là-bas.
Effectivement, il y avait 38 dans l’e-mail...
Solution possible : Le voisin de l’est demande une légalisation rétroactive de ses fenêtres. Pour cela, une inscription d’un droit de construction est nécessaire. Ton planificateur expérimenté réalise une analyse approfondie de l’environnement incluant une documentation photo, planifie ta maison comme souhaité en tenant compte des critères d’intégration justifiés (par exemple hauteur des murs et du bâtiment, cubature du bâtiment) et dépose une demande de préavis de construction avec références à l’ancienne autorisation de construire et au droit de l’urbanisme inchangé. Ainsi, l’administration est obligée d’émettre une décision juridiquement contraignante, qui est généralement plus réfléchie qu’une simple information téléphonique. En cas de refus, tu disposes alors par écrit d’arguments attaquables et évaluables juridiquement.
L’idée me plaît, merci.