À quelle hauteur la maison s'élève-t-elle - jusqu'où empiler la terre (profondeur de la cave faible) ?

  • Erstellt am 15.10.2022 19:11:42

Machu Picchu

16.10.2022 19:44:07
  • #1

Non. Ce problème dans cette mesure m’est connu depuis l’ouverture de ce fil, donc depuis hier.
 

K a t j a

16.10.2022 19:46:04
  • #2
Ce qui est critiqué ce n’est pas l’évacuation, mais l’accès à la terrasse.
 

K a t j a

16.10.2022 19:56:10
  • #3

Dans ce cas, il est utile de prendre quelques jours pour réfléchir à tous les aspects et rassembler des arguments avant d’aborder l’homme. Il faut aussi avoir une solution préférée en tête et laisser passer une nuit ou deux pour rester objectif. Il serait également utile de se rencontrer directement sur le chantier. Ces portes-fenêtres donnant sur le ciel donnent une image si embarrassante – s’il se tient devant, il cédera probablement plus facilement. En plus, il lui sera sans doute clair qu’une telle photo sur sa page de référence ne ferait pas bonne impression. ;)
 

SaniererNRW123

16.10.2022 19:56:42
  • #4

Mais à ce sujet aussi, des plans ont été faits, que le TE a validés tels quels. Du moins, c’est ce que j’ai vu au début du fil. Bien sûr, on peut le critiquer maintenant, mais une planification commune a été établie, qui a conduit au résultat actuel. Il aurait fallu au départ, dans le cadre de la planification – et c’était vraiment évident – parler du modelage du terrain et ne pas l’accepter ni même y consentir.
 

K a t j a

16.10.2022 20:08:56
  • #5

Comme je l’ai dit, il est certainement difficile de faire valoir des revendications ici, car tout a été approuvé. La question reste néanmoins de savoir si l’on peut interpréter les altitudes ici comme une erreur de planification. En tout cas, c’est extrêmement embarrassant pour un architecte confirmé. Sans doute, le préjudice d’image serait le meilleur argument de négociation. Sauf s’il envisage de prendre sa retraite bientôt, cela devrait valoir quelque chose pour lui compte tenu de la situation du marché attendue.
 

11ant

16.10.2022 20:27:14
  • #6

Je suis d’accord avec toi, mais il faudrait d’abord clarifier si un contrat d’architecte avait été conclu. Le droit de présenter les plans est souvent détenu par l’entreprise générale (GU), qui est régulièrement elle-même maître maçon, aucune base n’a ici été mal établie et une phase de prestation 1 n’a probablement même pas fait partie des prestations commandées. De plus, ici l’OP est lui-même par ses prestations propres à la construction à la fois maître d’ouvrage et coentrepreneur de l’ouvrage global. Avec cette configuration de cas, on pourrait probablement occuper des étudiants en droit tout un semestre.


Le mauvais service rendu, c’est celui que l’entreprise générale (GU) t’a rendu avec la surélévation pour éviter la station de relevage. J’ai déjà dit que je contribue volontiers de manière constructive, autant que les poseurs de questions me le permettent. Mais je ne peux pas faire de miracles. D’ailleurs, je considère ton message comme une confirmation de ma version du résumé pour les lecteurs.


Dans un contrat de construction avec prestations propres à la construction, l’entreprise générale (GU) conclut en quelque sorte une planification commune de l’ouvrage avec le maître d’ouvrage, qui est régulièrement un profane. Je trouverais exagéré de lui demander comme conséquence de refuser cette coopération. Je le vois plutôt agir de bonne foi quant à la maturité de son cocontractant, dont il ne doit pas exiger la preuve qu’il s’est fait conseiller de manière à compenser pleinement ses propres lacunes techniques personnelles. L’entreprise générale peut supposer qu’un adulte sait ce qu’il fait. Elle n’a pas à faire signer une déclaration selon laquelle le maître d’ouvrage est conscient de l’inefficacité objective de sa part dans l’ouvrage global – à mon avis, elle n’est pas du tout tenue ici à une appréciation critique du concept du maître d’ouvrage (de la manière dont celui-ci envisage d’effectuer ses propres prestations).

Quelle que soit la manière dont on tourne la chose : la sottise sans issue de l’OP n’incombe en rien à son entreprise générale (GU). Pas même dans ce cas spécial, où chaque lecteur silencieux en deuxième année d’apprentissage ne peut qu’afficher un visage d’Edvard Munch pétrifié de peur.
 
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