Ojemine
24.07.2013 18:27:32
- #1
Tu peux t’affranchir du risque des intérêts après la période de fixation du taux. En remboursant, remboursant, remboursant.
Un montant disponible pour les intérêts et le remboursement est fixé. Il est de 1.250 € par mois. Aucuns remboursements anticipés spéciaux ne sont prévus et ne sont pas pris en compte.
C’est obscur, incompréhensible, et c’est voulu. Celui qui calcule ainsi a quelque chose à cacher. Mais je ne veux rien justifier, chacun ses affaires. J’ai juste une aversion naturelle contre ce genre de choses.
C’est exactement ce que je me dis, de plus il y a beaucoup de ces fils ici, mais il n’y a jamais d’indication précise où quelque chose est caché.
À plusieurs reprises, après avoir demandé à déterminer le taux effectif global pour le financement total, je n’ai reçu que la réponse qu’il n’a pas la possibilité de le calculer ?! Pardon ?
Je favorise l’annuité classique. Et chaque banquier dans la famille fait de même.
La plupart du temps, les fonds propres des banquiers que je connais sont aussi deux à trois fois plus importants, ce qui entraîne un taux d’intérêt plus « agréable » pour les prêts purement à annuité. Des banquiers, quoi ;).
Prends ton budget mensuel, jusqu’où ça te mène ? Combien pourrais-tu rembourser ? Le taux d’intérêt ne dépend pas uniquement de la durée de fixation du taux et des fonds propres. Par exemple, un remboursement plus élevé peut aussi faire baisser le taux. Et au-dessus de 3,7 % c’est actuellement très élevé. Les taux baissent de nouveau depuis la semaine dernière. Ça ne tardera pas à être répercuté par les banques dans leurs agences. On propose aussi difficilement 20 ans, donc c’est probablement cher en proportion.
Pour atteindre les coûts de financement indiqués dans mon post, juste en dessous de 100.000 € pour un prêt à annuité de 250.000 € (remboursé en moins de 25 ans), une banque devrait me proposer un taux effectif de 3,11 % sur une période de 23,5 ans (taux de remboursement de 1.250 € par mois).
3,11 % avec mes fonds propres, impossible, selon un conseiller indépendant.
La plus grosse claque arrive à l’âge et avec la fiscalisation ultérieure du Wohnriester !
Elle n’intervient pas dans ce cas, car les aides du Wohnriester ne sont pas utilisées ici. Voir mon post précédent.
Alors je continue à chercher l’aiguille dans la botte de foin...