Il est considérablement malheureux de ne pas prendre en compte les modernisations et rénovations valorisantes, car celles-ci augmentent la valeur du bien immobilier et réduisent ainsi, par l'utilisation de capitaux propres, le taux d'endettement. Je recommanderais toujours de faire connaître les mesures à la banque lors de l'achat du bien immobilier et de demander un financement global.
Une possibilité consiste à estimer approximativement les coûts ou à les faire estimer, à emprunter un peu plus, à intégrer une marge de sécurité et à choisir une banque qui accepte une somme non prélevée, c’est-à-dire où certaines parties du prêt ne doivent pas être utilisées sans qu’une indemnité de non-prélèvement ne soit due.
De même, on peut prendre en compte un capital propre moindre afin de pouvoir réagir de manière flexible en cas de coûts supplémentaires et, en cas d’excédent à la fin de la période de construction, utiliser ce montant comme remboursement anticipé pour réduire le prêt, la valuta.
En principe, les questions suivantes se posent :
1) Quelle est la précision de votre estimation des coûts ?
2) Les prestations des corps de métier à effectuer sont-elles suffisamment définies ?
3) Aucun expert en bâtiment ou architecte n’est-il disponible dans l’environnement ?
Si le maître d’ouvrage connaît les coûts, ou a la certitude, ou intègre cela dans le prêt, alors notre architecte interne établit gratuitement un état des coûts que les banques acceptent. Mais c’est juste une remarque en passant.