Anniiii
09.02.2025 08:17:53
- #1
Mettre en demeure ou une sommation déclenche un processus qui doit être utilisable en justice au cas où il faudrait intenter une action en justice.
Ce ne sera pas aussi simple : s'il n'y a pas de clause de retard (par jour 50 € ou quelque chose comme ça) avec quelques petites lignes en bas, alors tu ne peux rien espérer.
Les intérêts de mise à disposition sont hors de question. Il n’y a rien à ce sujet car le financement est une affaire personnelle. Le maître d’ouvrage avisé inclut les intérêts de mise à disposition dans son calcul des coûts annexes du bâtiment.
Et mon avis personnel : ne pas résilier trop tôt. Il faut s’attendre à des coûts parallèles.
Chez nous, il y a la passage suivant :
L’entrepreneur s’engage à réaliser un état prêt à être habité au plus tard le 01.12.2024 et à achever complètement le projet au plus tard le 30.12.2024.
Le début des travaux est prévu au xx.xx.xx.
Un retard dans la remise des clés n’engage la responsabilité de l’entrepreneur que s’il en est fautif.
La construction du projet doit être conforme aux plans et au cahier des charges.
Cela signifie-t-il que nous n’avons aucun droit ? Rien du tout ? On nous a alors pressés de signer l’acte notarié, bien que le plan d’étage et le cahier des charges n’étaient bien sûr pas encore adaptés à nous. Finalement, il ne s’agit pas d’une entreprise de maisons préfabriquées, mais on peut encore tout modifier et faire des changements pendant la construction. Cela est vrai aussi concernant les équipements..
Nous soupçonnons maintenant un problème de financement dû à un autre chantier, raison pour laquelle rien n’avançait pendant des semaines. Même après la démolition de l’ancien bâtiment, rien ne s’est passé pendant des mois. Et nous devons payer pour cela ? Je trouve aussi scandaleux en rétrospective que nous ayons dû contracter un prêt déjà 10 mois avant la première facture partielle. Il avait pourtant une attestation de financement…