la surface constructible indiquée est d'environ 430 m²
Si tu parles de la surface rose, je peux te dire qu'elle n'a aucune signification juridique dans le domaine de la construction, car elle ne représente que l'utilisation réelle dans le cadastre immobilier. Si les urbanistes ou les autorisateurs argumentent avec cela, fais-toi le confirmer par écrit, car dans ce cas ils ont déjà perdu.
Évidemment, nous préférerions un dépassement de la surface constructible vers l’est.
Je ne trouve pas ça « évidemment ». Au contraire. Mais peut-être que je te comprends mal.
Ainsi, nous pourrions mieux répondre à la demande initiale du bureau d’urbanisme de placer le bâtiment en alignement avec celui du voisin et en même temps créer une sorte de protection visuelle pour le voisin.
Trace ta position souhaitée sur la carte.
Seriez-vous globalement d’accord avec le bureau d’urbanisme pour dire que la surface en dehors de la zone constructible pourrait déjà constituer un espace naturel ?
Selon moi, l’espace naturel pourrait commencer à la limite des types d’utilisation près de la forêt (ligne grise claire en direction nord-sud à travers la parcelle) ; mais c’est sans importance, car ma limite de construction effective à l’est correspond à la tienne et donc un déplacement supplémentaire vers l’est ne serait pas possible.
Comment voyez-vous les chances que le bureau d’urbanisme autorise au moins une construction en direction est, afin que nous puissions placer notre bâtiment en prolongement du voisin ?
Bien, si nous avons la même compréhension du maximum du déplacement vers l’est.
Le bureau d’urbanisme peut-il en principe étendre la zone constructible ?
Comme il n’y a pas de zone constructible définie, il n’y a rien à étendre. Selon l’article 34 du code de la construction, il n’y a au plus que des désaccords quant à l’intégration dans la surface constructible.
À partir du mur en pierre, tout est espace naturel.
Désolé, je ne comprends pas ce que tu veux dire.
L’argument principal est que nous avons en quelque sorte le terrain de bordure et qu’au sud de nous il n’y a pas de parcelle voisine supplémentaire, donc que nous « pourrions » être en espace naturel.
Ce serait difficile à comprendre, sauf s’il existe un plan paysager. Un coup d’œil au plan d’aménagement du territoire pourrait aussi valoir la peine.