Seules les intérêts créditeurs sont aujourd'hui généralement négligeables.
Eh bien, pour cela, tu te prêtes ensuite ton propre argent à un taux élevé.
Et un substitut de remboursement, c'est comme un substitut de café : ça passe, mais ça a un goût de m... :-o.
Pour un financement en vue d’une utilisation personnelle, le remboursement devrait être prioritaire. En deuxième lieu, la couverture du solde restant dû. Dans cet exemple, on pourrait envisager, après 15 ans, un livret d’épargne logement avec 60 000 € et une nouvelle annuité de 100 000 €. Pour le livret d’épargne logement, il faudrait alors économiser environ 30 000 € en 15 ans (2 000 € par an ou 167 € par mois). Pour moi, c’est ce qu’on appelle un « auto-pilote ».
De plus, ici (avec la faible valeur du terrain), la valeur de prêt n’est pas à négliger non plus. On peut s’attendre à de fortes décotes de sécurité de la part de la banque. Une maison sur un terrain sans valeur ne vaut rien (ou pas grand-chose). Encore une raison de plus pour faire attention au solde restant dû.
Par ailleurs, si tout se passe bien, un revenu net élevé est disponible. Il devrait être adaptable de manière flexible aux possibilités de placement à court terme. C’est mieux affecté au remboursement qu’à une épargne à taux zéro.