jens.knoedel
05.01.2024 11:18:24
- #1
D’où sors-tu ces bêtises ?
Manifestement ni d’une étude ni d’une expérience pratique.
Mauvaise idée.
Et ça aussi c’est faux.
Réagit assez rapidement.
Dans un bâtiment ancien, tu remarques bien vite quand le circuit est fermé. Pas dans une construction neuve. Mais peut-être que ton expérience vient d’un bâtiment ancien.
Là non plus, tu n’as apparemment pas d’expérience pratique.
Mon expérience : ça fonctionne aussi bien que le chauffage !
En hiver, lors du chauffage, j’ai un delta T intérieur/extérieur souvent supérieur à 30 degrés.
En été, lors du refroidissement, très rarement plus de 5 ou 10, donc à l’intérieur 23, à l’extérieur 30, il y a à peine 7 degrés de delta T.
Cela se refroidit très bien.
Depuis des années, expérience personnelle avec pompe à chaleur air-eau et refroidissement par chauffage au sol. Le refroidissement n’est possible que de façon limitée. En plus, l’humidité de l’air augmentée est aussi désagréable.
Haha, tu m’amuses, d’abord tu dis que ça ne marche pas et que c’est très compliqué à faire, puis tu dis que tu fais ça de manière approximative et tu t’étonnes que ça ne fonctionne pas ?!
Non, tu devrais apprendre à lire. Totalement professionnel avec des capteurs ou pragmatique avec des valeurs empiriques et des gadgets techniques.
Mais franchement, à quoi sert cette discussion ?
Comment peut-on avoir l’idée de rendre sa maison intelligente, de dépenser des dizaines de milliers d’euros et de vouloir économiser une centaine pour un actionneur plus quelques dizaines pour des servomoteurs, parce que quelqu’un sur Internet a dit que « un chauffage au sol s’autorègle » ?
Eh bien, si ton conseil pour la construction est que l’on peut acheter quand même des choses inutiles sans souci, soit. Pas étonnant que l’on se plaigne toujours du prix des maisons.
Le chauffage au sol ne s’autorègle d’ailleurs pas tout seul. Il est conçu correctement et ne nécessite plus de réglage (équilibrage hydraulique et thermique présupposé, avant que tu ne viennes chipoter sur les mots). Ce n’est pas « quelqu’un » qui le dit, mais c’est la norme technique.