Tout est parfaitement résumé ! Merci @11ant pour tes efforts, je trouve ça vraiment utile pour les nouveaux maîtres d’ouvrage ! Ce sujet devrait être épinglé, car ces questions reviennent régulièrement.
Je suis content de lire cela. J’ai oublié de lier ceci tout à l’heure :
Pour la passation individuelle, il faut distinguer entre la passation par le maître d’ouvrage lui-même (souvent avec des plans d’approbation diffusés par mail) et la passation individuelle par l’architecte (après un appel d’offres professionnel). Avec un entrepreneur général, on n’arrive pas uniquement à cela en ne sollicitant que délibérément des entrepreneurs généraux – mais aussi parce que des entrepreneurs généraux répondent à un appel d’offres ! [...] Architecte (éventuellement avec entrepreneur général), si on considère les choix des matériaux comme un plaisir, et entrepreneur général sans architecte si on considère les choix des matériaux comme un fardeau.
Le véritable « effort » se trouvait d’ailleurs dans les contributions vers lesquelles mènent les expressions de recherche Google mentionnées ;-)
Je trouve étrange qu’ici on ne parle toujours que de l’entrepreneur général et de l’architecte. Un maître maçon, un maître charpentier ou un maître en béton armé dispose également d'une petite habilitation pour le dépôt du permis de construire. Du moins chez nous en Hesse. Ceux qui sont prêts à rédiger eux-mêmes leur demande de permis de construire peuvent ainsi obtenir une autorisation de construire nettement moins chère. La condition préalable est bien sûr d’avoir suffisamment de temps et la volonté de s’investir pleinement dans le sujet de la construction.
Comme cela a déjà été suggéré dans la citation précédente, je trouve surtout la fausse association « architecte
ou entrepreneur général » être une erreur malheureusement très répandue. Et sur le fait de construire à partir de plans d’approbation, j’ai déjà dit :
Avec les plans d’approbation, on ne peut pas encore construire, on n’a que le droit. Ce « subtil » ;-) différend est le plus évident dans la forme des cloisons sèches encastrées, les stigmates des économies faites au mauvais endroit.
Celui qui construit à partir des plans d’approbation pourrait alors aussi économiser à moitié le contrôleur technique accompagnant la construction, c’est-à-dire le limiter à un minimum de trois visites : simplement parce que de nombreux détails ne sont pas du tout représentés dans les plans d’approbation, on ne peut donc pas dire « c’est indiqué différemment sur le plan ».