11ant
28.09.2022 22:57:27
- #1
C'est comme avec l'éducation des enfants : tu ne peux menacer de conséquences ou de sanctions que si tu es prêt à les appliquer. Pour ton architecte, cela signifie bien sûr de le virer si le délai est dépassé. Sinon, tu passes pour une vraie rigolade et six mois plus tard, il ne s'est toujours rien passé. Mais tu recevras quand même une facture complète, parce qu'avec toi, on peut tout se permettre (exagéré, bien sûr). Que dirais-tu de : « Merci pour le projet jusqu’à présent, j’ai les modifications suivantes à demander, veuillez les intégrer d'ici le 10 octobre afin que le dossier puisse être soumis à la mairie le ... . Tout nouveau report est inacceptable et sera considéré comme une résiliation immédiate du contrat de votre part en tant que prestataire. Dans ce cas, nous nous réservons en outre le droit de réclamer des dommages-intérêts pour non-exécution du contrat. »
Oublie ça. L'auteur du sujet a manifestement
Il y a eu autant de rendez-vous parce qu’il y a eu constamment des reports. En tout, il y a eu 3 réunions pour lesquelles 21 rendez-vous ont été fixés.
dix-huit fois sans aucune réprimande avec menace, à cause du refus de travailler, accepté d'être roulé dans la farine en ignorant le non-respect. Cette perte de face n’est absolument plus réparable. Compléter rétroactivement un contrat apparemment « informel, immédiat, infructueux », fixer un délai pour son exécution, etc., me paraît infiniment désespéré. Si le contrat peut théoriquement être exécuté au jour de la Saint-Glinglin, l’architecte exigera une rémunération selon le barème des honoraires pour ses efforts et l’obtiendra. Le contrat peut sans doute être résilié, mais avec pour conséquence une perte totale des frais avancés.
Cependant : jusqu’à preuve du contraire, je ne crois pas que tant de malentendus (non) agissements puissent être imputables à des défauts de communication unilatéraux.