tom.too
06.03.2024 11:52:35
- #1
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Devrais-je plutôt demander ici sur le forum comment gonfler à mon avantage la valeur marchande de deux biens immobiliers ? Sérieusement ?! Je ne me tirerai tout de même pas une balle dans le pied ! Je souhaite déterminer une valeur aussi objective que possible, en sachant pertinemment que les experts peuvent toujours s’écarter considérablement des valeurs que j’estime. Dans ma situation, il est possible que l’autre partie (aux intérêts opposés) accepte mon évaluation, ce qui éviterait notamment les frais d’experts agréés.
Je n’y connais rien : si je veux déterminer objectivement une valeur vénale, je ne vois pas en quoi cela doit dépendre des impôts, banques, financement, séparation de biens, vente, etc. Je remercie tous ceux qui prendront le temps de lire et de répondre, et je ne voudrais pas m’étendre inutilement.
>>> Oublie les instructions sur internet. Il n’existe pas de formule vraiment simple.
Les experts agréés doivent aussi indiquer très précisément dans leur rapport comment ils calculent la valeur vénale. Pour Immo 1, je ne vois pas grand-chose à tirer du rapport judiciaire de 2008, car à l’époque tout était inoccupé et l’évaluation se basait uniquement sur la taille du terrain et la structure du bâtiment. Il est possible que l’expert ait alors évalué l’objet relativement bas, mais aujourd’hui, le bien génère des loyers et il ne devrait plus être évalué selon la structure mais selon le rendement.
Si vous (nordanney) ne connaissez pas de formule simple, peut-être qu’un autre membre du forum en connaît une ?
Immo 2 : Je trouve fastidieuse et particulièrement sujette à erreur la recommandation de chercher des biens comparables. Les autres biens ont toujours un état de construction/taille/consommation d’énergie/frais annexes différents, un emplacement différent, une valeur foncière différente, etc. Si ma valeur foncière est par exemple de 50 €/m² pour une surface de 4 000 m² et que je trouve dans des ventes aux enchères des rapports avec une valeur foncière de 250 €/m² et une surface de 400 m², est-ce que c’est la même chose ou bien ma propriété mérite-t-elle encore 100 000 € en plus ? Comment évaluer ensuite l’emplacement ? N’est-ce pas en partie déjà inclus dans la valeur foncière ? CELA me paraît trop imprécis.
Pour cette propriété, je dispose d’un ancien rapport sérieux. Essentiellement, presque rien n’a changé dans le bien. Bien sûr, la structure a vieilli, mais certains éléments ont aussi été rénovés. Pour moi, on peut raisonnablement estimer qu’à l’époque une durée résiduelle d’utilisation de 70 ans a été fixée et qu’on peut refaire la même estimation aujourd’hui. De plus, la localisation, les connexions de transport, l’attractivité de la ville, etc., n’ont pas changé de manière significative. Le bien ne se retrouve pas subitement dans un quartier résidentiel huppé de Berlin. Avec cette méthode de calcul approximative, je dois essentiellement ne considérer que le facteur temps et je peux toujours rajouter ou enlever un montant pour des « circonstances particulières », si c’est le cas...
J’ai maintenant trouvé un indice des prix de l’immobilier chez Statistica. J’espère que c’est acceptable de le joindre ainsi. Un lien n’est pas permis. La base de l’indice est 2015 avec 100, en 2001 le prix moyen des maisons était à 84,4, en 2022 à 162,9. En calculant en règle de trois pour que 84,4 devienne la base 100, on obtient un facteur de 1,93. Une maison évaluée en 2001 à 100 000 € serait aujourd’hui évaluée à 193 000 €. N’est-ce pas une indication raisonnable ?
Nordanney, je ne comprends toujours pas pourquoi ce ne serait pas une bonne approche ? Concernant Immo 1, vous tirez également à l’aveugle en estimant la valeur vénale à sept ou huit fois le montant du loyer annuel sans aucune autre information sur le bien.

Devrais-je plutôt demander ici sur le forum comment gonfler à mon avantage la valeur marchande de deux biens immobiliers ? Sérieusement ?! Je ne me tirerai tout de même pas une balle dans le pied ! Je souhaite déterminer une valeur aussi objective que possible, en sachant pertinemment que les experts peuvent toujours s’écarter considérablement des valeurs que j’estime. Dans ma situation, il est possible que l’autre partie (aux intérêts opposés) accepte mon évaluation, ce qui éviterait notamment les frais d’experts agréés.
Je n’y connais rien : si je veux déterminer objectivement une valeur vénale, je ne vois pas en quoi cela doit dépendre des impôts, banques, financement, séparation de biens, vente, etc. Je remercie tous ceux qui prendront le temps de lire et de répondre, et je ne voudrais pas m’étendre inutilement.
>>> Oublie les instructions sur internet. Il n’existe pas de formule vraiment simple.
Les experts agréés doivent aussi indiquer très précisément dans leur rapport comment ils calculent la valeur vénale. Pour Immo 1, je ne vois pas grand-chose à tirer du rapport judiciaire de 2008, car à l’époque tout était inoccupé et l’évaluation se basait uniquement sur la taille du terrain et la structure du bâtiment. Il est possible que l’expert ait alors évalué l’objet relativement bas, mais aujourd’hui, le bien génère des loyers et il ne devrait plus être évalué selon la structure mais selon le rendement.
Si vous (nordanney) ne connaissez pas de formule simple, peut-être qu’un autre membre du forum en connaît une ?
Immo 2 : Je trouve fastidieuse et particulièrement sujette à erreur la recommandation de chercher des biens comparables. Les autres biens ont toujours un état de construction/taille/consommation d’énergie/frais annexes différents, un emplacement différent, une valeur foncière différente, etc. Si ma valeur foncière est par exemple de 50 €/m² pour une surface de 4 000 m² et que je trouve dans des ventes aux enchères des rapports avec une valeur foncière de 250 €/m² et une surface de 400 m², est-ce que c’est la même chose ou bien ma propriété mérite-t-elle encore 100 000 € en plus ? Comment évaluer ensuite l’emplacement ? N’est-ce pas en partie déjà inclus dans la valeur foncière ? CELA me paraît trop imprécis.
Pour cette propriété, je dispose d’un ancien rapport sérieux. Essentiellement, presque rien n’a changé dans le bien. Bien sûr, la structure a vieilli, mais certains éléments ont aussi été rénovés. Pour moi, on peut raisonnablement estimer qu’à l’époque une durée résiduelle d’utilisation de 70 ans a été fixée et qu’on peut refaire la même estimation aujourd’hui. De plus, la localisation, les connexions de transport, l’attractivité de la ville, etc., n’ont pas changé de manière significative. Le bien ne se retrouve pas subitement dans un quartier résidentiel huppé de Berlin. Avec cette méthode de calcul approximative, je dois essentiellement ne considérer que le facteur temps et je peux toujours rajouter ou enlever un montant pour des « circonstances particulières », si c’est le cas...
J’ai maintenant trouvé un indice des prix de l’immobilier chez Statistica. J’espère que c’est acceptable de le joindre ainsi. Un lien n’est pas permis. La base de l’indice est 2015 avec 100, en 2001 le prix moyen des maisons était à 84,4, en 2022 à 162,9. En calculant en règle de trois pour que 84,4 devienne la base 100, on obtient un facteur de 1,93. Une maison évaluée en 2001 à 100 000 € serait aujourd’hui évaluée à 193 000 €. N’est-ce pas une indication raisonnable ?
Nordanney, je ne comprends toujours pas pourquoi ce ne serait pas une bonne approche ? Concernant Immo 1, vous tirez également à l’aveugle en estimant la valeur vénale à sept ou huit fois le montant du loyer annuel sans aucune autre information sur le bien.