Nouvelle construction sur un terrain communautaire, question fiscale

  • Erstellt am 06.10.2013 12:29:50

AallRounder

08.10.2013 21:10:33
  • #1
Question générale en retour :
depuis quand est-ce que ce qui ne se trouve pas en propriété du défunt est soumis à l'impôt sur les successions ?
Chacun peut construire sa maison non seulement sur un terrain qui lui appartient, mais aussi sur un terrain appartenant à autrui. Il existe plus qu’assez d’exemples tristes à ce sujet. La demande de permis de construire et l'autorisation sont au nom du constructeur, pas du propriétaire du terrain. Cela s'applique de la même manière aux factures. Pour construire sur un G+B étranger ou sur une propriété communautaire non divisée, aucun notaire n'est nécessaire. La maison appartient indubitablement au constructeur, même si le terrain ne lui appartient pas ou lui appartient seulement en partie. Cette situation ne peut vraiment poser problème du fait des administrations, mais plutôt du fait des différents propriétaires. Celui qui planifie une telle construction devrait, à mon avis, plutôt se creuser la tête à ce sujet. Une solution apaisante est une division réelle notariale, de sorte que le cas "normal" sûr "construire sur son propre G+B" se réalise.
 

Musketier

09.10.2013 09:53:36
  • #2


Cette affirmation est absurde.
Tout ce qui est fixé de manière permanente au terrain appartient, selon l'article 94 du Code de la construction, au propriétaire du terrain et doit donc être pris en compte pour l'impôt sur les successions. Une exception concerne probablement uniquement les cas anciens de l'époque de la RDA, car selon le Code civil (ZGB) de la RDA, on pouvait être propriétaire d'un bâtiment sans être propriétaire du terrain. (principalement des terrains de garages ou de datchas)
Sinon, la séparation entre terrain et bâtiment fonctionne via le bail emphytéotique. À la fin du contrat de bail emphytéotique, la possession revient toutefois au propriétaire du terrain. À ma connaissance, cela doit aussi être réglé notarialement.
 

Musketier

10.10.2013 16:31:11
  • #3



Pour simplifier, je résume maintenant ta phrase.



Je trouve cette affirmation fausse malgré la correction. Même si le demandeur a déposé toutes les demandes de construction et est donc le maître d’ouvrage, légalement il ne possède dans un premier temps que la moitié de la maison, en analogie avec la division du terrain (voir Code de la construction). En revanche, il possède bien sûr aussi la moitié de la maison parentale. Par conséquent, en cas d’héritage, il hériterait de la moitié du terrain y compris la moitié de la maison parentale et la moitié du nouveau bâtiment.

Si je conclus des droits d’usage quelconques, je peux modifier la valeur de chaque partie du terrain ou du bâtiment, mais je ne peux pas contourner le Code de la construction. Un instrument juridiquement sûr serait ici l’usufruit, qui doit être inscrit au registre foncier.
Si, au contraire, tu fais allusion à la loi sur la propriété résidentielle, cela doit aussi être réglé par acte notarié.
Quoi qu’on en dise, légalement parlant, dans un premier temps, seule la moitié appartient au demandeur.



Pour être honnête ? Je n’ai pas compris ce passage.
Qui doit être indemnisé quand, comment et pour quoi ?
 

AallRounder

10.10.2013 20:26:41
  • #4


Si la division n’est pas réelle mais seulement idéelle, le propriétaire de la maison peut selon moi prétendre que la maison est exactement sur sa moitié idéelle. Qui pourrait prouver le contraire ?



C’est précisément à cause de ces nombreuses incertitudes que je ferais toujours la division réelle avant d’investir ne serait-ce qu’un centime dans une construction. Ainsi, les copropriétaires doivent aussi montrer leur vrai visage. De bien des visages bienveillants qui auparavant approuvaient la construction est alors sortie une grimace odieuse. Mais il vaut mieux provoquer cette transformation avant que ce ne soit trop tard.



Cela fait référence à la gestion des directives d’évaluation :
Lors d’une construction sur un terrain en copropriété, le bâtiment doit être évalué d’une certaine manière. La décision sur les règles à appliquer pour cette évaluation intervient à la fin du droit d’usage. Si la maison revient au propriétaire du terrain à la fin du droit d’usage avec indemnisation du propriétaire de la maison, elle est évaluée selon les règles relatives aux "bâtiments sur terrain en copropriété". Si la maison est transférée sans indemnisation, la valeur est assimilée à celle du terrain. En tant que comptable agréé, cela te semblera sûrement familier.

D’ailleurs, c’est encore remarquable de voir comment d’autres s’exercent à une interprétation abstraite du droit pendant que le TE disparaît. Mais je trouve désormais notre échange intéressant même sans le TE.
 

Bauexperte

11.10.2013 00:19:10
  • #5
Bonsoir


Il n’y a pas besoin de preuve, car le code de la construction ainsi que la loi révisée sur les droits de succession sont clairs.

Tant que la nouvelle construction est érigée sur le terrain de la mère, elle forme une unité avec le terrain. Seul le droit de superficie inscrit au registre foncier permet une dérogation ; c’est la seule manière pour que l’ancien et le nouveau bâtiment puissent être considérés indépendamment l’un de l’autre.


Pas si rare - mais pourquoi devrait-il se manifester ? Il trouve ses réponses dans les commentaires des utilisateurs sous ce fil

Salutations, expert en construction
 

AallRounder

11.10.2013 07:50:52
  • #6
Bonjour,



Dans l’exemple abstrait, la nouvelle construction ne devrait cependant pas se trouver sur le terrain d’un tiers, mais sur la propriété en indivision/demembrement dont le constructeur possède lui-même la moitié. L’interprétation du Code de la construction m’intéresserait à ce propos. D’après mon expérience, un tel bâtiment n’est pas considéré par l’administration fiscale comme un bâtiment sur un terrain étranger.



Oui, bien sûr - je suis bien trop old-fashioned.
Mais comme tu l’as déjà écrit en accord avec un vieux proverbe : on ne peut que se changer soi-même. Je ne me fâche pas non plus contre les TE passifs, je ne peux juste parfois m’empêcher de faire une allusion …

Cordialement
 

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