Ce qui est toujours, à mon avis, un peu négligé, c’est le séchage du linge. Et en tant que gens de la campagne, ils ont probablement des exigences plus élevées en matière de stockage et de conservation (ce qui bien sûr peut se faire autrement, je sais, cela dépend aussi de la taille du terrain). Nous, nous n’avons d’ailleurs pas de cave, pour des raisons de coût .
Je te donne complètement raison pour le séchage du linge.
Mais au lieu d’une pièce de séchage, où autrefois le linge était étendu dans toute une pièce, on tend vers le sèche-linge. Si l’on construisait une pièce spacieuse dans une cave, il faudrait réguler l’évacuation de l’air humide, sans parler des coûts.
À la place, on peut recourir à une surface couverte à l’extérieur – la plupart possèdent un étendoir rotatif et un porte-linge pour le petit linge à sécher. Dans notre petit local buanderie à l’étage, nous avons un dispositif mural pour faire sécher les vêtements de sport et la laine, le reste passe au sèche-linge.
Cela m’intéresserait de savoir comment fait une famille de 4 personnes ! Je vais probablement ouvrir un fil dédié à ce sujet. Le voici :
Par ailleurs, je me demande si le terme
Landeier fait référence au fait de cultiver des légumes et des fruits sur son propre terrain.
Quand on travaille 8 heures, la plupart en ont assez de cultiver leur propre potager pendant leur temps libre.
Quelques-uns, moi y compris, font cela de manière simple : courgettes, roquette, betteraves rouges... L’année prochaine, je pourrai planter dans la serre .
Bien sûr, on met des bocaux en conserve. Pour ces bocaux, une armoire suffit.
Mais ce n’est pas la conservation des stocks qu’on pratiquait après la guerre, quand il n’y avait rien d’autre à manger : on dépendait du stockage et on ramassait les pommes au bord de la route pour en faire de la compote.
De nos jours, les fruits du jardin familial sont plutôt transformés frais et consommés immédiatement.