Chez nous, les agents immobiliers nous ont bien inscrits, mais aucun agent dans un rayon de 20 km ne nous a jamais appelés... Curieusement, ce n’est que maintenant qu’un agent a appelé pour la première fois et a demandé si nous cherchions encore. Nous sommes sur leur liste depuis 2 ans.
Pourtant, nous restons totalement sans succès, l’agent "qui nous a sur sa liste" a vendu la maison à quelqu’un d’autre deux fois.
Se mettre sur les listes des agents immobiliers n’est pas une panacée pour plusieurs raisons. D’abord, ils ne vont pas "passer leur liste en une fois" au téléphone, mais contactent d’abord et avec plusieurs jours de réflexion leurs potes et anciens clients. Et ensuite, on obtient naturellement par les agents uniquement les biens qu’ils ont eux-mêmes en gestion. Le marché profond passe à côté des agents.
Une remarque encore, je ne sais pas comment c’est chez vous dans la ville, mais ici chez nous, dans les meilleurs quartiers (versant sud avec belle vue sur le centre-ville) habitent beaucoup de seniors de plus de 80/90 ans, dans la ville voisine c’est pareil. Ce n’est qu’une question de temps avant que les biens immobiliers se libèrent. Peut-être faudrait-il ici prendre contact avec les voisins, souvent ils font les courses pour eux ou aident au jardin et savent s’il y a des enfants et s’ils reviendraient ou pas…
Exact, voir mes conseils Barthel sur les mots-clés services de soins, pompes funèbres et autres.
Mais en général, j’augmenterais aussi le rayon de recherche autour du lieu désiré.
J’ai failli mettre un like à ton message, et puis tu écris ça :-(
NON ! – On ne tire pas à la chevrotine sur des terrains. Si le succès se fait attendre, élargir la recherche de façon floue est exactement la mauvaise démarche.
Celui qui pense que c’est deux fois plus facile peut bien avoir cet avis. Mais il est impossible de généraliser ce point de vue à chaque ville et chaque région de cette République. C’est à la fois prétentieux et impossible.
Moi aussi je connais ces lieux où les autochtones savent par cœur qui est qui, et où l’on "appartient" dans la rue seulement à la quatrième génération et est salué par son nom. Et même là, il "se passe quelque chose" – au moins avec un chien ;-)