emer
08.01.2013 09:41:44
- #1
Je ne trouve pas que toute cette discussion soit forcément productive. Qui signe encore aujourd’hui un contrat hypothécaire sur 10 ans avec un taux d’intérêt de 3,15 % ?
Les taux actuels sont nettement plus bas. Pour 10 ans, on peut obtenir quelque part entre 2,20 % et 2,30 % avec une bonne négociation. Avec une bonne solvabilité et un financement inférieur à 65 %, c’est même environ 2,1 %. Même sur 15 ans, on n’arrive pas à 3,15 %. Les prêts KFW peuvent être exemptés de remboursement durant les premières années – donc plus de marge pour des remboursements anticipés du prêt principal. Par ailleurs, le taux KFW est seulement de 1,4 %. En faisant les calculs, le résultat est nettement différent.
Ne vous laissez pas "intimider" ........................
Cela ne rembourse pas non plus le prêt beaucoup plus rapidement, le budget ne devrait pas être réduit à la baisse pour le montant plus élevé de toute façon.
Je ne trouve pas que toute cette discussion soit forcément productive. Qui signe encore aujourd’hui un contrat hypothécaire sur 10 ans avec un taux d’intérêt de 3,15 % ?
Question en retour : qui signe encore un contrat avec seulement 10 ans de taux fixe avec des taux aussi bas ? Celui qui doit le faire parce que l’argent ne suffit pas autrement se retrouve dans 11 ans, avec une probabilité modérément élevée, sans sa maison. Avec 15 ans, on a au moins la chance de réduire cela via un contrat à durée indéterminée.
Oui, un revenu mensuel de 3 300 €. Désolé, je me suis laissé tromper par la somme du prêt de 310 000 €. Ce n’est néanmoins pas énorme quand on considère qu’avec un enfant, cette somme ne diminue pas seulement, mais les dépenses augmentent brusquement.
Je trouve aussi que vos dépenses sont assez serrées (je l’avais déjà dit). Ce qui est important dans ce calcul, c’est une honnêteté absolue et sans fard envers vous-mêmes. Car vous devez pouvoir gérer cela et honorer la banque.
Je ne veux rien vous interdire – je n’ai rien contre :) – mais nous nous étions aussi imaginé les choses très différemment au début, par rapport à ce qu’il s’est finalement passé, et c’est (du moins jusqu’à présent) bien/mieux ainsi. Si c’était la bonne voie, on ne le sait de toute façon qu’au bout de plusieurs décennies, mais nous sommes convaincus de ne pas être passés par le chemin « plus mauvais » qui n’avait pas été prévu au départ.