1. Vendre la maison en totalité : totalement non rentable, car la maison ne pourrait pas être vendue au prix nécessaire pour sortir de l’affaire à zéro. (pénalités de remboursement anticipé, pas en ultra deluxe premium location à des prix totalement exagérés, etc.) on calcule une perte d’environ 50 000 € à la fin. c’est donc éliminé
Ça me semble étrange. D’un côté, tu affirmes qu’il gagne assez pour pouvoir assumer la maison seul, de l’autre, il y a plus de dettes sur la maison qu’elle ne vaut. Cela ne concorde pas.
2. louer la maison et financer avec les loyers : on pourrait le faire, toutefois les nouvelles maisons s’usent trop vite avec des locataires ayant plusieurs enfants (sans enfants, la maison serait trop grande et peu pratique). le « standard » visé pour la location est trop élevé, tout ne serait pas couvert. globalement non rentable et pas une bonne solution
Ça ne cadre pas non plus. Si le bien était rentable grâce aux loyers, on pourrait aussi le vendre à peu près bien. Je suppose qu’avec les loyers, le crédit ne pourrait pas être remboursé, donc les deux injecteraient constamment de l’argent ou la valeur du bien ne serait pas maintenue.
3. l’un achète la moitié de la maison de l’autre : théoriquement la meilleure solution, il prendrait sa moitié, elle lui céderait sa moitié pour 1 €. cependant, il y a des droits de mutation et des frais notariaux d’environ 10 000 €. elle ne les a pas. en plus, la banque ne la libère pas du contrat, car il ne gagnerait prétendument pas assez. ce n’est pas vraiment le cas. en.
Si le cas 1 est exact, sa perte serait d’environ 25 000 €. Pour le cas 3, des coûts de 10 000 € s’ajoutent, donc 15 000 € d’économies, au total prétendument 40 000 €.
Comme dit, je suppose que toutes les infos/hypothèses ne sont pas correctes ; sinon, le cas 3 serait assez simple. Mais je pense que la banque a ses raisons pour ne pas la libérer du crédit, et alors la vente se fera assez rapidement, au besoin en saisie.
Cordialement
Dirk Grafe