kati1337
12.05.2023 09:24:20
- #1
Les enfants et la construction d'une maison ne doivent pas nécessairement s'exclure mutuellement. Lors de la première maison, j'avais un tout petit bébé et j'étais en congé parental. Et comme le hasard le veut, lors de la construction actuelle, j'ai encore un tout petit bébé et je suis en congé parental. Tout dépend des chiffres concrets. Malheureusement, ils sont actuellement beaucoup moins en votre faveur qu'il y a deux ans. Nous avons pu conclure le financement avec un taux d'amortissement de 2 % de manière à bien gérer aussi pendant le congé parental. Avec un peu moins de marge pour les économies et les réserves pour cette année-là. P.S. : N'oubliez pas, l'épargne ne s'arrête pas après la construction de la maison. Les maisons ne sont pas neuves pour toujours. Chez nous, il y avait aussi un 2 devant la virgule, alors que pour les demandes de financement actuelles, ce serait plutôt un 4. Nous ne financerions pas le même montant dans les conditions d'aujourd'hui. La banque l'approuverait probablement encore, et notre revenu net du ménage est un peu plus généreux que le vôtre même en congé parental (nous sommes aussi un peu plus âgés). Mais avec ça, je ne dormirais plus bien. Je ne suis pas fan de la règle générale « pas plus de 30 % du net pour la maison ». Je trouve qu'elle ne convient ni aux très faibles revenus (ça pourrait déjà être trop), ni aux très hauts revenus (si je gagne 8 000 net, mes coûts de vie n'augmentent pas forcément proportionnellement). Notre financement est conçu de manière à ce que nous puissions bien nous en sortir pendant le congé parental – la ceinture est un peu plus serrée, mais pas trop. Et quand je travaille à temps partiel à nouveau, ça redevient plutôt détendu. Je n'ai pas pris en compte d'éventuelles augmentations de salaire, etc. Ce n'est pas vraiment pertinent. Les financements actuels ne sont en effet pas remboursés au bout de 20 ans, même pas sur le papier. Et si le salaire augmente, je préfèrerais l'utiliser pour être libre de dettes plus rapidement. Qui veut rembourser un crédit élevé jusqu'à juste avant la retraite (ou même après) ? Les raisonnements du type « on finance aujourd'hui à crédit, le salaire plus élevé réglera ça plus tard » me semblent dangereux.