Le « grenier » a un grand mur de pied dans la planification.
Je ne vois ici aucun mur de pied dépassant la hauteur du parapet. Je ne vois pas la pensée souhaitée d'une réserve d'aménagement même partiellement vérifiée, et encore moins prouvée uniquement par le fait que l'on crée une hauteur debout à la sortie de l'escalier.
Ici, deux étages sont discutés, alors que quatre étages sont prévus.
Si la cave est encore d'actualité, je ne vois pas seulement le mur de pied, mais aussi l'escalier vers le comble comme superflu. Alors, je créerais un niveau de cabane dans les chambres d'enfants, je ferais la chambre à coucher ouverte en haut, et je créerais un plancher de rangement au-dessus du dressing et éventuellement de la salle de bain, terminé.
Désolée, mais je dois le dire : c'est le moment où l'on arrête de bricoler le concept de départ et où l'on jette l'affaire à la poubelle. [...] – ne soyez surtout pas timide. Déchirez et recommencez.
Un plan amateur reste un plan amateur, même si l'on fait appel à un dessinateur en bâtiment (et qu'il intègre les indications d'un ingénieur structural). Mais la victoire à la Pyrrhus de faire passer ce plan amateur contre toute raison du monde (et même si la fin est « on arrive à la cour à grand-peine, l'enfant était mort dans ses bras »), est une affaire sacrée pour le futur propriétaire - contre cela, presque aucune herbe ne pousse. Surtout pas si l'on a trouvé une maison comme modèle, construite avec succès autour de l'escalier souhaité...