Pinkiponk
22.11.2020 19:45:45
- #1
En plus des portails Internet habituels, nous avons également consulté directement les sites web de nombreuses communes pour voir si elles proposaient quelque chose et quoi. Nous avons aussi parcouru les bulletins officiels et les journaux communaux disponibles en ligne. Jusqu’à environ un an ou plus dans le passé, afin d’être informés sur les plans d’utilisation des sols et les plans d’aménagement. Finalement, nous avons trouvé via, je crois, ImmoScout et avons pu acheter directement auprès de particuliers.
Les vendeurs de maisons ne possèdent pas de terrains, même s’ils prétendent le contraire. Il y a des exceptions, mais ce sont alors des terrains invendables pour de bonnes raisons (nous en avons vu 2-3) et que quelqu’un ne prendrait que s’il avait signé un contrat restrictif avec un des vendeurs de maisons... et même pas dans ce cas.
Ce que tu peux faire en plus, c’est, si tu as manqué une ou plusieurs mises en vente (aussi auprès des communes), te faire inscrire sur une liste d’attente ou d’intéressés. Il arrive régulièrement que des candidats renoncent (pour des raisons de financement, de séparation, le plan d’aménagement ne convient pas, etc.). Dans ce cas, montre ta présence ; interroge régulièrement, mais sans être insistant. Le bon équilibre entre montrer un intérêt sérieux (mentionner les enfants, très important) et ne pas être agaçant.
As-tu suivi la série sur les zones d’habitat anciennes et nouvelles dans le journal régional de Leipzig ([den Namen darf ich hier vermutlich nicht nennen]) ? Il y avait un bon résumé.
La mise en vente à Knautkleeberg est probablement terminée, ([Dreiskau-Muckern auch]) mais peut-être êtes-vous candidats pour la liste d’attente ?
Malheureusement, j’ai détruit toutes mes impressions, copies, etc., avant notre déménagement dans la région, mais je vais réfléchir si quelque chose d’utile me revient.
Faire le tour et regarder les maisons/jardins mal entretenus est aussi une très bonne idée. Nous avons vu ainsi plusieurs maisons/terrains qui n’étaient pas en ligne.
En résumé : la série dans le journal régional, si vous ne l’avez pas déjà suivie, je vous conseille de la parcourir et aussi de vous faire inscrire, partout où c’est possible, sur la liste d’attente.
Les vendeurs de maisons ne possèdent pas de terrains, même s’ils prétendent le contraire. Il y a des exceptions, mais ce sont alors des terrains invendables pour de bonnes raisons (nous en avons vu 2-3) et que quelqu’un ne prendrait que s’il avait signé un contrat restrictif avec un des vendeurs de maisons... et même pas dans ce cas.
Ce que tu peux faire en plus, c’est, si tu as manqué une ou plusieurs mises en vente (aussi auprès des communes), te faire inscrire sur une liste d’attente ou d’intéressés. Il arrive régulièrement que des candidats renoncent (pour des raisons de financement, de séparation, le plan d’aménagement ne convient pas, etc.). Dans ce cas, montre ta présence ; interroge régulièrement, mais sans être insistant. Le bon équilibre entre montrer un intérêt sérieux (mentionner les enfants, très important) et ne pas être agaçant.
As-tu suivi la série sur les zones d’habitat anciennes et nouvelles dans le journal régional de Leipzig ([den Namen darf ich hier vermutlich nicht nennen]) ? Il y avait un bon résumé.
La mise en vente à Knautkleeberg est probablement terminée, ([Dreiskau-Muckern auch]) mais peut-être êtes-vous candidats pour la liste d’attente ?
Malheureusement, j’ai détruit toutes mes impressions, copies, etc., avant notre déménagement dans la région, mais je vais réfléchir si quelque chose d’utile me revient.
Faire le tour et regarder les maisons/jardins mal entretenus est aussi une très bonne idée. Nous avons vu ainsi plusieurs maisons/terrains qui n’étaient pas en ligne.
En résumé : la série dans le journal régional, si vous ne l’avez pas déjà suivie, je vous conseille de la parcourir et aussi de vous faire inscrire, partout où c’est possible, sur la liste d’attente.