Culture architecturale actuelle et quartiers neufs conformes à l’ordonnance sur l’économie d’énergie

  • Erstellt am 24.03.2018 14:36:13

M4dman

28.03.2018 14:21:36
  • #1
Un dernier commentaire avant que nous revenions au sujet....

Je n'ai jamais prétendu que tout est beau. Il y a aussi ici des coins (comme dans toutes les grandes villes) qui sont tout simplement sales et miteux. Mais il y a aussi de très jolis coins.
Je ne suis pas fan de ces généralisations. Berlin, ce n'est pas seulement Kreuzberg, Mitte et Charlottenburg. Il y a beaucoup d'autres quartiers également beaux et même dans ceux qui ne le sont pas autant, il y a quand même des coins magnifiques et particuliers.

Qualifier Berlin entièrement de trou à rats criminel est tout simplement déplacé.
 

kaho674

28.03.2018 15:08:57
  • #2

Ce ne sont que des feuilles ! Donc je trouve ça tout à fait correct et c’est aussi joli et vert là-bas. Les endroits mauvais ont cet aspect :


 

tomtom79

28.03.2018 15:38:49
  • #3
Feuilles ? Je parlais des [Hundehaufen]. J'apprécie vraiment la semaine de nettoyage.
 

11ant

28.03.2018 16:43:05
  • #4

Quelqu'un a au moins plié les toits de façon originale.


Et même là, un toit en appentis décalé s’insinue.


On dirait qu’on voulait d’abord créer un village autour d’un espace commun et qu’on a finalement préféré ajouter une poignée de terrains constructibles au centre de celui-ci :-(


Voilà ce qui arrive quand on reprogramme un budget foncier pour une situation semi-haut de Stuttgart et qu’on déménage en Holstein.
 

Jogger84

28.03.2018 23:58:00
  • #5
Chez nous, ce ne sera probablement pas différent des "photos effrayantes" précédentes : 440 m² et assez bien situés. Que peut-on y faire ? Compte tenu des terrains rares, de l’augmentation massive des prix au mètre carré et des coûteuses mesures de la réglementation sur les économies d'énergie, la question ne se pose même pas de savoir si on aime cela ou non. Il s'agit seulement de "ça - ou rien du tout". Et si l'on souhaite une mensualité < 1.000 euros, qu'on ne veut pas d’une maison en kit de Pologne et qu’on souhaite au moins un peu d’infrastructure à proximité, eh bien, dans le calcul des coûts, il faut se baser sur la superficie du terrain.

Nous connaissons déjà ce genre de discussion et toutes les réserves habituelles en famille et parmi les connaissances en abondance. La plupart du temps, ce sont des gens qui ont construit il y a une éternité ("Peut-on encore aujourd’hui être exonéré de la taxe sur les transactions immobilières ?") ou qui habitent dans la prairie ("Chez nous, le raccordement ne coûte que 30 euros. L’internet haut débit devrait aussi arriver en 2022"). Chaque époque laisse ses traces, surtout en matière d’architecture, et comme partout, il y a des avantages et des inconvénients. En tout cas, je suis très confiant que, à mon âge, je n’aurai pas à appeler chaque semaine mon petit-fils pour tondre la pelouse et désherber, comme c’est le cas aujourd’hui pour certaines veuves qui, malgré leur arthrose, doivent entretenir 1.200 m².
 

11ant

29.03.2018 00:45:13
  • #6

Devant l'alternative d’une maison individuelle où l’on se suicide (parce que la « hauteur sous plafond » dans le grenier en pointe du toit en tentes ne suffit pas pour se pendre), je préfère rester locataire. Une propre parcelle doit aussi avoir un terrain autour. Avec une vue sur le mur de la prison et seulement le mur du garage du voisin, on devient fou.
 
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