motte2
12.11.2014 11:44:03
- #1
Bonjour,
je vais maintenant faire un retour sur ce qui s’est passé chez nous.
Comme écrit le 29 août, j’ai une maison individuelle de 53, avec ventilation contrôlée et poêle à bois indépendant de l’air ambiant. Le ramoneur a insisté pour un pressostat ou une preuve qu’il ne puisse pas y avoir plus de 8 Pa de dépression dans la maison.
Cette preuve n’a pu être obtenue ni du fabricant, ni du concepteur ni du monteur. Ils proposent également un pressostat.
Le ramoneur a alors signalé ce défaut de construction à l’autorité compétente.
Finalement, nous nous sommes mis d’accord avec le ramoneur pour une mesure comparative de pression en fonctionnement normal.
On a mesuré la différence de pression entre l’air extérieur et l’air dans la pièce où se trouve le poêle. Ce jour-là, il y avait pas mal de vent et la pression variait d’environ 4 Pa. Il n’y avait aucune différence, que la ventilation soit arrêtée, en mode normal ou à pleine vitesse. Ainsi les conditions du ramoneur étaient respectées.
Cependant, je voulais aussi faire une mesure avec l’air soufflé bloqué en pleine vitesse (le pire cas). La dépression dans la pièce augmentait d’environ 2 Pa, atteignant au maximum 5 Pa. Il faut bien sûr préciser que ma maison a été modernisée de façon poussée mais n’atteint pas l’étanchéité d’une maison passive.
Conclusion :
Mon poêle RLU a été accepté sans pressostat.
Le test de pression a coûté 250 euros.
Pour plus de sécurité, j’ai installé un détecteur de CO. Il coûte 50 euros, fonctionne sur piles et doit être remplacé tous les 6 ans. Je soutiens qu’il est plus sûr et plus fiable qu’un pressostat.
Cordialement
Michael
je vais maintenant faire un retour sur ce qui s’est passé chez nous.
Comme écrit le 29 août, j’ai une maison individuelle de 53, avec ventilation contrôlée et poêle à bois indépendant de l’air ambiant. Le ramoneur a insisté pour un pressostat ou une preuve qu’il ne puisse pas y avoir plus de 8 Pa de dépression dans la maison.
Cette preuve n’a pu être obtenue ni du fabricant, ni du concepteur ni du monteur. Ils proposent également un pressostat.
Le ramoneur a alors signalé ce défaut de construction à l’autorité compétente.
Finalement, nous nous sommes mis d’accord avec le ramoneur pour une mesure comparative de pression en fonctionnement normal.
On a mesuré la différence de pression entre l’air extérieur et l’air dans la pièce où se trouve le poêle. Ce jour-là, il y avait pas mal de vent et la pression variait d’environ 4 Pa. Il n’y avait aucune différence, que la ventilation soit arrêtée, en mode normal ou à pleine vitesse. Ainsi les conditions du ramoneur étaient respectées.
Cependant, je voulais aussi faire une mesure avec l’air soufflé bloqué en pleine vitesse (le pire cas). La dépression dans la pièce augmentait d’environ 2 Pa, atteignant au maximum 5 Pa. Il faut bien sûr préciser que ma maison a été modernisée de façon poussée mais n’atteint pas l’étanchéité d’une maison passive.
Conclusion :
Mon poêle RLU a été accepté sans pressostat.
Le test de pression a coûté 250 euros.
Pour plus de sécurité, j’ai installé un détecteur de CO. Il coûte 50 euros, fonctionne sur piles et doit être remplacé tous les 6 ans. Je soutiens qu’il est plus sûr et plus fiable qu’un pressostat.
Cordialement
Michael