ruppsn
17.11.2017 12:00:04
- #1
Salut,
Oui, ça existe et c’est comme ça, on ne peut rien y changer. Il n’y a pas d’autre solution. Je ne pense pas avoir affirmé qu’il y ait toujours et partout une possibilité de faire installer un matériel fourni par le client. Donc, je ne vois pas vraiment où nous divergeons. Mon point était simplement qu’il y a parfois des alternatives et de bons plombiers prêts à poser du matériel fourni par le client. Peut-être que la base de données de Reuter peut aider à trouver un artisan de ce genre. PEUT, pas forcément DOIT.
On peut certainement le faire, mais ce ne serait pas ma façon de faire, car je ne vois pas beaucoup d’intérêt à investir dans des choses dont je sais déjà que je vais les jeter plus tard.
Ou alors la motivation de prendre le standard pour ensuite remplacer était plutôt d’éviter de mettre en danger le déroulement des travaux (et donc la date d’emménagement), car le retrait de ce corps de métier aurait causé des retards ?
Je le considérerais tout à fait, car si le retard coûte plus cher que le standard plus un remplacement ultérieur, alors c’est une voie raisonnable et envisageable.
Si ce n’était pas la motivation, je ne comprends pas pourquoi on a installé du standard au lieu de confier directement la porcelaine au bricoleur du soir. Ou bien le contrat général stipulait-il « tout » (installation des tuyaux, cuvettes, robinets) ou rien (pas d’installation des tuyaux non plus) ?
Dans ce dernier cas, je me poserais vraiment la question de savoir si le généraliste est la bonne solution pour moi – selon l’importance que j’accorde à la personnalisation. Nous étions dans ce cas : le généraliste disait que si on voulait de la personnalisation, il fallait retirer les lots sanitaires (y compris la tuyauterie) et chauffage (car même sous-traitant). La « compensation » était trop faible pour ne pas dire ridicule (il me semble 23 000 € pour les deux !). Pour l’électricien et le revêtement de sol, c’était similaire. Donc nous sommes passés par l’architecte, car cela convenait mieux à nos attentes et nous avions l’impression de mieux contrôler et influencer tous les détails.
Bien sûr, tout le monde ne partage pas ce point de vue. Ça se comprend. Si on veut absolument construire avec un généraliste, ce qui peut avoir ses raisons, la solution que tu décris (d’abord le standard, puis un remplacement) est une possibilité. L’argent mal investi me ferait mal, mais si d’autres y trouvent leur compte, pourquoi pas ?
Sommes-nous vraiment si éloignés ? J’ai plutôt l’impression que non…
Le gendre, qui a construit à 200 m de chez nous, s’est lui aussi énervé de la surcharge sanitaire. Il voulait aussi fournir lui-même le matériel. Réponse de l’entreprise sanitaire : je n’installe que si vous achetez chez moi. Sans discussion. Sans raison, excuse ou prétexte. Je ne le fais pas. Point.
Oui, ça existe et c’est comme ça, on ne peut rien y changer. Il n’y a pas d’autre solution. Je ne pense pas avoir affirmé qu’il y ait toujours et partout une possibilité de faire installer un matériel fourni par le client. Donc, je ne vois pas vraiment où nous divergeons. Mon point était simplement qu’il y a parfois des alternatives et de bons plombiers prêts à poser du matériel fourni par le client. Peut-être que la base de données de Reuter peut aider à trouver un artisan de ce genre. PEUT, pas forcément DOIT.
Solution : les enfants ont pris le standard, ont emménagé en janvier, ont remplacé en octobre, c’est un bricoleur du soir ayant payé en espèces qui a fait l’installation. – Encore une fois : ce n’est pas ce qu’on voudrait qui compte, mais quel chemin est possible dans la situation actuelle. Karsten
On peut certainement le faire, mais ce ne serait pas ma façon de faire, car je ne vois pas beaucoup d’intérêt à investir dans des choses dont je sais déjà que je vais les jeter plus tard.
Ou alors la motivation de prendre le standard pour ensuite remplacer était plutôt d’éviter de mettre en danger le déroulement des travaux (et donc la date d’emménagement), car le retrait de ce corps de métier aurait causé des retards ?
Je le considérerais tout à fait, car si le retard coûte plus cher que le standard plus un remplacement ultérieur, alors c’est une voie raisonnable et envisageable.
Si ce n’était pas la motivation, je ne comprends pas pourquoi on a installé du standard au lieu de confier directement la porcelaine au bricoleur du soir. Ou bien le contrat général stipulait-il « tout » (installation des tuyaux, cuvettes, robinets) ou rien (pas d’installation des tuyaux non plus) ?
Dans ce dernier cas, je me poserais vraiment la question de savoir si le généraliste est la bonne solution pour moi – selon l’importance que j’accorde à la personnalisation. Nous étions dans ce cas : le généraliste disait que si on voulait de la personnalisation, il fallait retirer les lots sanitaires (y compris la tuyauterie) et chauffage (car même sous-traitant). La « compensation » était trop faible pour ne pas dire ridicule (il me semble 23 000 € pour les deux !). Pour l’électricien et le revêtement de sol, c’était similaire. Donc nous sommes passés par l’architecte, car cela convenait mieux à nos attentes et nous avions l’impression de mieux contrôler et influencer tous les détails.
Bien sûr, tout le monde ne partage pas ce point de vue. Ça se comprend. Si on veut absolument construire avec un généraliste, ce qui peut avoir ses raisons, la solution que tu décris (d’abord le standard, puis un remplacement) est une possibilité. L’argent mal investi me ferait mal, mais si d’autres y trouvent leur compte, pourquoi pas ?
Sommes-nous vraiment si éloignés ? J’ai plutôt l’impression que non…