wpic
19.11.2015 20:06:04
- #1
La hauteur de l’avant-toit est définie comme le point d’intersection entre le bord extérieur de la maçonnerie et la surface supérieure de la couverture de toit ; cela peut également être le sommet de l’attique pour les étages en retrait, les garde-corps supplémentaires pour atteindre la hauteur nécessaire de la balustrade ne sont généralement pas pris en compte ici. Il est décisif de savoir si les étages en retrait sont autorisés dans le plan d’urbanisme, quelles formes de toit, quelle emprise au sol/indice de surface de plancher, etc. Les communes/les villes peuvent définir elles-mêmes la « hauteur de l’avant-toit » dans le plan d’urbanisme.
La zone de recul de l’étage en retrait peut alors éventuellement aussi se référer à ce point d’intersection dans la toiture de l’étage en retrait ; la planification doit donc être éloignée de la limite du terrain en conséquence. Il en résulte la distance minimale entre l’attique et le bord extérieur de la maçonnerie de l’étage en retrait.
Je recommanderais de contacter un architecte pour une esquisse préliminaire et afin de clarifier toutes ces questions juridiques de construction et d’urbanisme. Ou au moins de charger un géomètre-expert assermenté [ö.b.u.v.] d’interpréter de manière juridiquement correcte le plan d’urbanisme.
La zone de recul de l’étage en retrait peut alors éventuellement aussi se référer à ce point d’intersection dans la toiture de l’étage en retrait ; la planification doit donc être éloignée de la limite du terrain en conséquence. Il en résulte la distance minimale entre l’attique et le bord extérieur de la maçonnerie de l’étage en retrait.
Je recommanderais de contacter un architecte pour une esquisse préliminaire et afin de clarifier toutes ces questions juridiques de construction et d’urbanisme. Ou au moins de charger un géomètre-expert assermenté [ö.b.u.v.] d’interpréter de manière juridiquement correcte le plan d’urbanisme.