maximax
02.12.2015 19:11:57
- #1
La hauteur maximale de l'avant-toit fixée comme limite s'oriente sur les hauteurs d'étages usuelles dans la construction de logements. Elle empêche les dépassements extrêmes des hauteurs moyennes, sans restreindre inutilement la marge de manœuvre nécessaire pour la conception.
Vive l'envie sociale sanctionnée par l'État.
Laissons cela de côté, les reproches envers le TE ne servent à rien maintenant.
Est-ce la description complète dans le plan d'aménagement ? La hauteur de faîtage de 9,5 m a été mentionnée en passant.
Quelques pistes de réflexion ou points de discussion :
[*]Très directement : y a-t-il quelque chose qui interdise un toit mansardé, par exemple une pente maximale du toit ou une interdiction explicite des toits mansardés ?
[*]Et qu’en est-il d’un toit à croupe rampant au lieu d’un toit à croupe complet ?
[*]Y a-t-il quelque chose au sujet des lucarnes ou des pignons croisés ?
[*]Au sujet de l’abaissement : est-il interdit par le règlement national de construction ou pas (dans le calcul de la hauteur de l’avant-toit) ? Et le terrain est-il plat ou pas ? La pente de l’allée n’y fait rien. Personne n’a dit que le garage doit être au même niveau que le rez-de-chaussée.
[*]Toutes ces mesures coûtent de l’argent. Il faut se demander si le terrain permet simplement de construire avec une surface au sol plus grande et éventuellement de déplacer des surfaces de l’étage supérieur vers le rez-de-chaussée.
Juste pour clarifier le terme pour le TE : deux étages pleins sont atteints lorsque la largeur libre à 2 m de hauteur atteint les 2/3 de la surface au sol de l’étage inférieur (ou quelque chose comme ça), donc un comble moyen. Et cela peut, si je ne me trompe pas, être à peine atteint avec un toit en pavillon pour les hauteurs indiquées. Cela ne signifie pas deux étages sans pentes de toit.