Stefan001
05.03.2020 12:31:44
- #1
Je ferais :
1. N’acheter que s’il y a une forte probabilité d’une bonne convivialité de voisinage
2. faire inscrire le chemin d’accès au cadastre comme une parcelle distincte et enregistrer une déclaration d’indivisibilité.
3. Prévoir des coûts de construction accrus si l’accès est un défi logistique
4. Répartir équitablement les coûts du chemin d’accès entre les propriétaires et consigner cela contractuellement.
5. Je construirais la maison uniquement sur un terrain qui m’appartient à 100 % - au cas où les parts de terrain concerneraient aussi le terrain de construction.
1. Cela reste à clarifier, mais pour le moment c’est juste ma démarche pessimiste. Il n’y a aucun indice négatif.
2. C’est précisément le cas. Le chemin d’accès est une parcelle distincte, et seule celle-ci est partagée entre les deux « parcelles de maison ». Au total donc 3 parcelles. Terrain de maison 1, chemin d’accès et terrain de maison 2. J’obtiendrais le terrain de maison 2 à 100 %, et le chemin d’accès à 50 %.
3. D’accord.
4. Autant que j’ai compris, la création initiale de l’accès est à ma charge. L’entretien ultérieur doit cependant être assuré collectivement. Actuellement, le propriétaire avant n’utilise qu’environ 40 % de la parcelle du chemin d’accès pour son entrée. Le reste du chemin est encore jardin / espace arboré. Mais je ne pense pas que ce soit si critique.
5. Le terrain de construction m’appartient à 100 %. Seul le chemin d’accès est, comme dit, à 50/50 avec le terrain avant. C’est pourquoi je souhaiterais également faire enregistrer un droit de passage sur ce chemin d’accès. Afin que je n’aie pas seulement 50 % de pouvoir décisionnel sur l’utilisation du chemin d’accès, mais que je sois vraiment indépendant dans le cadastre des caprices du propriétaire avant. Ou est-ce une pensée trop pessimiste ?