zod
14.04.2016 00:57:36
- #1
Et en plus des études, je travaillais aussi à temps partiel et nous avons ainsi pu économiser cette somme sur plusieurs années.
Ah, ce que je donnerais pour que mes études permettent un travail à temps partiel.
Et en plus des études, je travaillais aussi à temps partiel et nous avons ainsi pu économiser cette somme sur plusieurs années.
Oh, ce que je donnerais pour que mes études permettent un travail à temps partiel.
Si on le veut et qu’on y consacre du temps, on peut aussi faire un travail à temps partiel en parallèle de "presque" n’importe quel cursus universitaire. J’ai tellement d’amis qui travaillent à temps partiel ou de manière accessoire pendant leurs études (dans de nombreuses filières différentes).
Il y a quand même un monde entre travailler à temps partiel (ce qui correspond généralement à 25 heures par semaine) et faire des petits jobs (ce que je fais depuis mes 16 ans en parallèle). Je prétends, comme ça, que l'on ne terminera pas nos études d'électrotechnique dans le délai standard si on travaille à temps partiel ; à moins de se couper complètement de la vie et de se consacrer uniquement au travail et aux études pendant 5 ans.
Les masters en formation continue sont encore un tout autre sujet. Je ne vois pas l’utilité de retarder les études pour pouvoir travailler. Finir ses études plus rapidement pour ensuite gagner pleinement sa vie me semble plus judicieux. C’est évidemment différent si on dépend des moyens financiers et qu’on travaille en même temps que ses études, mais dans ce cas, il ne reste normalement pas grand-chose.
Je considérerais tous les emplois que l’on trouve à côté des études comme marginaux en ce qui concerne l’épargne logement. Ceux qui peuvent économiser habitent probablement chez leurs parents et là, on parle de coûts d’opportunité : on travaille et on peut seulement économiser parce qu’on habite gratuitement chez ses parents. En quelque sorte, les parents nous donnent chaque mois de l’argent sous forme de loyer non perçu.