La banque exigeait pour le prêt de rénovation subséquent d'un montant de 60 000 euros une RLV de 100 000 euros. Montant total du prêt 210 000. Le reste est garanti par l'hypothèque. La conclusion devait se faire uniquement sur la durée de fixation du taux d'intérêt, c’est-à-dire 5 ans.
Nous avons souscrit une RLV, qui paie 100 000 euros supplémentaires en cas d'accident. La cotisation est de 15 euros par mois pour les fumeurs, donc ce n’est pas trop douloureux.
Une somme plus élevée aurait été inutile, car en cas de disparition du seul revenu, le paiement de l'assurance est de toute façon saisi par les services sociaux (même s'il est versé en mensualités). À quoi bon donc souscrire davantage que nécessaire. Je ne suis même pas sûr que la dette résiduelle puisse être réglée par la RLV, car je suppose que le montant total est confisqué par l'État. Selon moi, tout cela n’a de sens que si, en cas de décès du seul soutien de famille, le partenaire restant peut aussi se débrouiller seul. Cela doit probablement être calculé. Je peux clairement le nier. C’est pourquoi nous n’avons mis en place que la demande minimale de la banque.