Nous avons également une subvention Bafa qui expirera en février 2023 si notre projet est désormais retardé.
Je ne suis pas juriste, mais j’estimerais que votre partenaire contractuel risque aussi une obligation de dommages-intérêts.
L’entrepreneur n’a d’autre choix que de répercuter les hausses de prix autant que possible ou finalement de faire faillite.
Je suppose qu’on essaie ici de tester quels clients accepteront ce petit jeu. Le calcul pourrait être que l’on attend une augmentation d’environ trois pour cent, qu’un client sur trois acceptera cela, puis qu’il faut prélever dix pour cent sur ceux-ci pour que cela fonctionne (ce qui, pour le client, signifierait au départ : qui aboie ne sera pas mordu du tout). Cependant, les deux (l’entrepreneur général et le client) négligent un danger : si de nombreux clients deviennent nerveux à cause de cela et doutent de la solvabilité de l’entrepreneur général, les demandes aux agences d’évaluation de crédit augmentent fortement, et l’entrepreneur général peut se retrouver en situation d’insolvabilité non pas à cause d’une détérioration des faits concrets, mais uniquement par la dynamique propre aux doutes sur sa solvabilité. À la place de la TE, je conseillerais donc aussi de discuter avec l’avocat de la sécurité avec laquelle le contrat peut être résilié sans dommage, et en tout cas de rester vigilants sur le point « sécurisation de l’exécution du contrat ».