Bonjour à tous,
merci pour les nombreuses réponses. Comme déjà supposé, il semble que ce soit un sujet difficile et qu'il ne soit probablement pas aussi simple de répondre par oui ou par non.
J'essaierai de faire un croquis simplifié à l'occasion.
Probablement, seul un avocat pourra vraiment aider en examinant l'ensemble des faits.
Sur le sujet de la vente du terrain - c’est en tout cas un point très important que j’ai oublié de mentionner - le terrain est actuellement libre.
Si nous ne l’achetons pas, quelqu’un d’autre l’achètera - peut-être avec des intentions tout à fait différentes - comme l’exemple de Zweibrücken le montre.
Pour moi, la question est plutôt de savoir pourquoi la ville ne fonctionne pas comme propriétaire pour une telle rue. À mon avis, des conflits sont inévitables.
Dans le registre foncier, il n’y a en fait presque rien. Seulement « Verkehrsfläche » et dans la section II « Grunddienstbarkeit (droit de passage) des années 1930 », puis la liste des différentes parcelles concernées par ce droit de passage.
Il est vrai que l’on ne se fait pas beaucoup d’amis chez les voisins, mais il arrive aussi qu’on soit garé de façon à bloquer notre accès, et on n’a alors pas de chemin libre vers notre entrée. Les autres accès ne sont pas bloqués parce qu’il n’y a pas la boucle de retournement...
Au moins, on a l’impression que notre amitié n’est pas non plus très importante pour les voisins...
Peut-on aussi racheter le terrain et le céder à la ville avec un droit de préemption en cas de revente ? Ce serait en tout cas un moyen d’éviter qu’un investisseur rachète la route privée.
Que feriez-vous dans une telle situation, lorsque c’est clair que le terrain va changer de propriétaire ?